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L’ATPS met à disposition une bibliothèque technique et créative qui permet à chacun·e de se plonger dans l’histoire des arts et techniques de la scène passées et actuelles. Utilisez la barre de recherche pour trouver les ouvrages répondant à vos critères. Contactez-nous pour consulter les ouvrages à Bruxelles !

The theater of the Bauhaus
1987
Wesleyan University Press
The theater of the Bauhaus
Auteur : O. Schlemmer, L. Moholy-Nagy, F. Molnar, W. Gropius

ISBN : 0819560200

« Out of the past, from one of the world’s tiniest stages, came some of the theater’s biggest and most imaginative ideas … Originally published in 1924, The Theater of the Bauhaus appears now for the first time in English. The book’s typography, layout and illustrations, accurately reproduced from 1924 original, are often as starthing and bizarre as thoughts and ideas expressed in Schlemmer and Moholy-Nagy’s text, lucidly translated by Arthur Wensinger ».

Architectural Forum

  • Taille : 25,5cm x 17,5cm
  • Contents.
  • Introduction, Walter Gropius. pg7
  • Man and Art figure, Oskar Schlemmer. pg17
  • Theater, Circus, Variety, Laszlo Moholy-Nagy. pg49
  • U-Theater, Forkas Molnar. pg73
  • Theater (Bühne), Oskar Schlemmer. pg81
  • Translator’s Note. pg105
Maïakovdki par lui-même
1961
Ed. du Seuil
Maïakovdki par lui-même
Auteur : Claude Frioux

Ma révolution. (extrait)

On ne peut parler d’Mune brusque rencontre du poète russe Maïakovski et de la révolution soviétique qu’il aurait, au milieu de sa carrière, soudainement transformé en barde officiel du régime socialiste. « La nouveauté des temps était le climat même de son sens », dit Pasternak. La révolution est, plus encore qu’une option, un tempérament, une manière de vivre, comme le contexte ininterrompu est nécessaire de toute son existence. Dès qu’il quitte les montagnes de son enfance, le grand air, les rochers, les forêts, les lourds fruits mrs de Géorgie, il se heurte au cosaque qui répriment les manifestations de 1905. ICEA dans un petit chef-lieu provincial, à 12 ans il court dans les rues avec les grévistes, reçoit des coups, lit des brochures marxistes, apprend des champs de combat. La révolution et les vers se sont d’une certaine manière confondue dans ma tête.

Moscou, lorsque son père est mort et sa famille au bord de la gêne, Maïakovski délaisse les études secondaires pour devenir membre professionnel du parti bolchevique sous le nom de Camarade Constantin. Il conspire, combine des évasions, organise des imprimeries clandestines quand d’inquiétantes maisons de faubourg, comme on en voit dans les yeux classiques du cinéma soviétique. 1908 : après l’échec de la révolution de 1905, la répression est terrible. Mais que qui a choisi le mot le plus dangereux. Il est pris et enfermé au cachot.

  • Taille : 18cm x 12cm
  • Table.
  • Ma révolution. pg5
  • Le poète dans l’armée de l’art. pg21
  • Homme tout entier. pg41
  • Moi-même. pg57
  • Eternel blessé d’amour. pg67
  • La couleur suprême du temps caméléon. pg79
  • Vladimir Maïakovski-tragédie. pg91
  • Je suis immortel. pg107
  • Comment faire des vers. pg115
  • Textes. pg132
  • Chronologie. pg183
  • Bibliographie - illustration. pg188
  • Index . pg189
La décoration théâtrale
1922
F. Rieder et Cie
La décoration théâtrale
Auteur : Léon Moussinac

Avant-propos.

La décoration théâtrale a presque constamment reflété les tendances générales de la peinture. Elle s’est développée, souvent, de façon parallèle, luttant contre une tradition, cédant à une mode, ou encore s’efforçant de suivre une école qui, dans ses théories absolues, représentait elle-même les tendances d’une époque vers un certain idéal artistique.

Durant ces quelques vingt dernières années, il est même arrivé qu’elle s’est imposée aux autres arts par la puissance de ses réalisations. Les Ballets russes, en 1909, ont prolongé leur influence, en effet, au point de peser encore sur nos arts décoratifs.

C’est qu’ils avaient réussi à condenser en quelque sorte et à exalter jusqu’au maximum d’expression possible les tendances artistiques d’une époque à laquelle la Perse et le Japon avait définitivement révélé le raffinement original et la merveilleuse précision de leur goût.

Aussi, au théâtre, les oeuvres dramatiques sont-elles moins remarquables, en général, durant ces années, que les recherches des peintres dans le domaine de la mise en scène est l’application pratique et théorie nouvelle, nées du symbolisme. D’ailleurs jamais cette application spéciale des travaux des peintres ne fut plus abondamment ni plus passionnément discutée. Mais il était assez difficile de démêler les faits et les théories, surtout de retrouver les ouvres, par suite de la dispersion des documents.

C’est pourquoi j’ai surtout voulu, dans cet essai, donner une idée d’ensemble de l’évolution de la décoration théâtrale depuis le temps où, par réaction contre le réalisme à la scène, on essaya d’obtenir l’unité artistique en demandant à des peintres de composer des décors et des costumes en harmonie avec l’esprit et le sens de l’oeuvre à représenter.

Un élément nouveau est d’ailleurs élargir bien vite les tentatives imparfaites du début en fournissant aux créateurs des possibilités originales et d’une étrange puissance : l’électricité. Désormais la lumière pourrait jouer aux besoins comme élément principal et provoqué l’application de techniques nouvelles auxquels l’art de la décoration thétrale restera de plus en plus soumis.

D’autre part, il semble bien que cette sorte d’aventures décoratives, qui commença aux environs de 1890, en France, au thétre d’art de Paul Fort, et qui entraîna toute l’Europe, soit aujourd’hui bien près de son terme. Elle enrichit quelque temps la scène, lui a fourni de réelle beauté, mais, - contrairement à ce que l’on pensait, - n’a pas contribué à enrichir la du théâtre proprement dit. Le moment paraît donc d’autant plus favorable pour esquisser les principales et les plus curieuses périple précis de ce mouvement original.

Léon Moussinac

  • Taille : 20,5cm x 13cm
  • Table des matières.
  • Chapitre premier.
  • Du réalisme au symbolisme. pg5
  • Réaction contre le réalisme du Théâtre Libre : Paul Fort au thétre d’art et Lugné-Poé au Théâtre de l’Oeuvre.
  • - Le décor « fictions ornementale ».
  • - Collaboration des peintres à la mise en scène : Maurice Denis, Vuillard, Bonnard, Toulouse-Lautrec, Séruzier, Odilon Redon, etc …
  • Chapitre II.
  • Influences étrangères. pg25
  • Un élément nouveau du décor : l’électricité. - Influence de Loïe Fuller.
  • Les idées de Gordon Craig sur l’art du théâtre.
  • En Allemagne : Georg Fuchs et Adolphe Appia.
  • - Les manifestations du Kunstlertheater de Munich et les réformes de Max Reinhardt.
  • En Russie : le Théâtre d’Art de Moscou.
  • - Stanislavski et Meyerhold.
  • - Le Théâtre Studia.
  • Les Ballets russes à Paris.
  • - Shéhérazade.
  • - Léon Bakstr, Alexandre Benoit, Roerich, Golovine, Fedorovsky, etc …
  • Le Théâtre de la Chauve-Souris à Paris.
  • Chapitre III.
  • Le Théâtre des Arts (1910 - 1913). pg53
  • Les idées de Jacques Rouché.
  • - Importance et retentissement des mises en scène du Carnaval des Enfants et du Sicilien.
  • - L’oeuvre des peintres Maxime Dethomas, Drésa, René Piot, Charles Guérin, d’Espagnat, Desvallières, Segonzac, Albert André, Delaw, J. Hémard, André Hellé, Hermann Paul, etc …, et de Poiret.
  • Chapitre IV.
  • Sur d’autres scènes (1912 - 1921). pg83
  • La leçon du thétre des arts.
  • - Les décors de J. Varie au à l’ouvre.
  • - Maurice Denis, Valdo Barbey, Dethomas, Drésa et René Piot.K.
  • - R. Roussel, Daragnnès, André Derain, Henri Matisse, Duffy, Fauconnet.
  • Irène Lagut, Jean Hugo.
  • Les costumes de Poiret pour le Minaret et Aphrodite.
  • Georges Lepape, Georges Barbier.
  • Steinlen, P. Bonnard, H. Laprade, Jules Flandrin Au Théâtre des Champs-Elysées.
  • Charles Dufresne.J.-G. Domergue, Guy Arnoux, etc …
  • Chapitre V.
  • Conclusion. pg113
  • L'art du théâtre proprement dit contre les peintres.
  • - L’effort de J. Copeau au Théâtre du Vieux-Colombier.
  • - Le cinéma contre le réalisme à la scène.
  • - La fin de l’aventure décorative au théâtre.
Le Théâtre du Soleil, Notre Théâtre
2010
L'avant-scène
Le Théâtre du Soleil, Notre Théâtre
Auteur : Collectif

ISBN : 2749811597

Ce numéro double, entièrement consacré au Théâtre du Soleil, explore plus particulièrement la question de la création collective, pilier essentiel du processus artistique orchestré depuis plus de quarante ans par Ariane Mnouchkine. Revenant sur l’histoire du théâtre et sur les grands spectacles, cet ouvrage entre au cœur du travail collectif, grâce à la publication d’extraits de notes de répétitions des trois derniers spectacles – Le Dernier Caravansérail (Odyssées), Les Éphémères et Les Naufragés du Fol Espoir (Aurores). S’enrichissant de textes sur la musique, d’analyses, d’entretiens avec Ariane Mnouchkine et les comédiens, ce numéro se veut le témoin de l’une des plus riches et des plus stimulantes aventures théâtrales et humaines contemporaines.

  • Taille : 19cm x 14cm
  • Sommaire ÉditorialAu-delà du théâtre, par Olivier CelikLe Théâtre du Soleil- Ariane Mnouchkine, l’éclat du Soleil, par Armelle Héliot- Rencontre avec Ariane Mnouchkine, par Olivier Celik- L’aventure épique du Théâtre du Soleil, par Fabienne Pascaud- De métamorphose en métamorphose, par Armelle HéliotNotes de répétitions (extraits)- Le Dernier Caravansérail (Odyssées)- Les Ephémères- Les Naufragés du Fol Espoir (Aurores)Créer ensemble - La création collective au Théâtre du Soleil, par Béatrice Picon-Vallin- Entretiens avec les comédiens, par Olivier Celik- Lettres aux comédiens, par Hélène Cixous- Le secret du Dernier des Dieux, par Hélène Cixous- Entretien avec Jean-Jacques Lemêtre, par Olivier Celik- « Notre théâtre », par Béatrice Picon-Vallin- L’ouverture au monde, l’aventure du Théâtre Aftaab- Lire, écouter, voir
Fifty english books 1580-1700
2004
Bernard Quaritch LTD
Fifty english books 1580-1700
Auteur : Collectif

Catalogue de vente de livres anciens anglais faisant partie d'une exposition au Globe actuel

  • Taille : 29,5cm x 22cm
  • Exemple d'ouvrage en vente : The Tragedy of Hamlet, Pince of Denmark - London 1676
La Lumière
1932
Librairie Delagrave
La Lumière
Auteur : A. Turpain

Introduction.

Dès que l’enfant s’éveille

et que ses petits yeux jusqu’alors fixe, se font chercheurs, c’est le rayon de lumière filtrant à travers les volets mal clos et venant effleurer sa couche, qu’il remarque, qu’ils recherchent et auquel il gazouille. 1000 le mystère sont cachées sous ce phénomène de clarté, dont l’humanité a à peine soulevé le voile depuis les quelques siècles qu’elle s’est livrée à l’observation de la nature. Cette lumière dont certes l’enfant ne peut même soupçonner la première raison, suffit à retenir son attention est satisfait son regard incertain.

Quand l’obscurité entoure de toutes parts, qu’aucune clarté ne vienne répondre à son éveil et dès lors il a peur, il souffre, il appelle, il crie bientôt, effrayés par la nuit.

Cette instinctive sympathie de l’enfant n’indique-t-elle pas déjà que la lumière est le symbole de la vie ? En fait la lumière a peut-être créé la vie, ou pour être plus exact c’est très probablement elle qui a coopéré aux premières transformations vitales, à moins cependant que la vie ne soit aussi ancienne, aussi éternel que la lumière et que la lumière même. Ce dont nous pouvons être assurés cependant, c’est que la lumière préside aux évolutions de la vie, elle en est la condition nécessaire et nous savons tous que notre globe privé de lumière et par suite de chaleurs (la chaleur n’étend qu’une forme particulière de la lumière) seraient incapables des manifestations de vie si multiples et si variée qu’il présente. Peut-être la vie demeurerait telle latente et comme à l’état de puissance, pouvant à nouveau y évoluer sous l’influence bienfaisante de la lumière. Sans la lumière et la chaleur qui l’accompagne la vie cesserait complètement. C’est la lumière, plus particulièrement la lumière du soleil qui anime la nature et par la terre de beauté. Elle donne aux océans leur mobilité, aux terres arables leur fécondité, aux forêts et au gazon leur verdure, aux fleurs leur couleur ; elle les fait belle. C’est elle encore qui, d’un pinceau subtil, habits des chatoyantes couleurs du prisme la secte comme le papillon ; c’est elle aussi qui fait les beaux yeux bleus ou bruns mais toujours purs des charmants bambins et la beauté des femmes était mère.

C’est du rayon de soleil que nous vient toute notre activité, notre puissance sur la nature. C’est la lumière qui fait mrir le fruit qui nous désaltère, elle verdit aussi l’herbe qui nourrit le ruminant, dans la chair entretient notre vie, dans le lait nous fournit mille mets exquis. C’est elle encore qui nous donne la laine, la soie, le coton, qui nous vêt par suite. c’est donc en définitive par la lumière du soleil que nous agissons et que se sont former ne tissus.

A. Turpain

  • Taille : 30cm x 20cm
  • Table des matières.
  • Introduction. pg5
  • Chapitre I. Les premiers pas de la lumière p.g9
  • Chapitre II. Ombres et silhouettes. pg13
  • Chapitre III. Réflexions et réfraction de la lumière. pg18
  • Chapitre IV. Les miroirs et leur curieux effet. pg23
  • Chapitre V. Prismes et lentilles. pg33
  • ChapitreVI. Dispersion et à chromatisme. pg36
  • Chapitre VII. Les instruments d’optique. pg41
  • Chapitre VIII. Les télescopes. pg53
  • Chapitre IX. Le spectroscope et la spectroscopie. pg77
  • Chapitre X. L’art des projections. pg97
  • Chapitre XI. Je de la lumière dans l’atmosphère. pg108
  • Chapitre XII. La vision et ses défauts. pg135
  • Chapitre XIII. Vision colorée. pg150
  • Chapitre XIV. Illusion d’optique. pg158
  • Chapitre XV. Vision binoculaire et stéréoscopie. pg171
  • Chapitre XVI. Durée des impressions lumineuses sur la rétine et stroboscopique. pg187
  • Chapitre XVII. Cinématographie. pg197
  • Chapitre XVIII. Sources artificielles de lumière. pg221
  • Chapitre XIX. Photographies ordinaires et en couleurs. pg248
  • Chapitre XX. La lumière est la vie. pg265
  • Chapitre XXI. La vie de la lumière. Lumière et matière. pg276
  • Chapitre XXII. La lumière ensemence les mondes. La théorie panspermiste et l’hétérogènèse.
Intersection: Intimacy and Spectacle
2011
Arts and Theatre Instit.
Intersection: Intimacy and Spectacle
Auteur : S. Lotker, S. Kubista, O. Sagiv, T. Brejzek

ISBN : 9788070082614

Catalogue of Intersection: Intimacy and Spectacle includes description of this a unique project consisting of living performative exhibition in public space and a series of performances and symposia exploring performative space and contemporary performance.

  • Taille : 27cm x 20,5cm
  • Contents.Intro. pg10
  • Spatial Background. pg18
  • Architecture. pg22
  • Boxes 1-32. pg30
  • Krétakor : Crisis Trilogy. pg64
  • Claudia Bosse : The Tears of Stalin. pg66
  • Philip Glass : Les Enfants Terribles
  • - National Theatre. pg68
  • Edward Gordon Craig : Space and Light - Victoria and Albert Museum. pg69
  • Out of the Box. pg71
  • Cinema. pg72
  • Intersection Talks : Expanding Scenography. pg76
  • Neither Nor
  • - A Conversation. pg80
  • Simon Donger : Broken Maze. pg90
  • Glossary. pg92
  • Intersection calendar. pg94
  • Intersection Team. pg95
  • Resumé. pg97
Le décor de film, 1895-1969
1990
Veyrier/Lib.l'Avenue
Le décor de film, 1895-1969
Auteur : Léon Barsacq

ISBN : 2851993429

Un grand décorateur, qui se révèle aussi grand historien, nous donne ici sur l’évolution esthétique et technique du décor cinématographique un panorama exhaustif.

Unique au monde sur le sujet, se livraient un ouvrage de standing professionnel et s’adresse à tous ceux qui s’intéressent au cinéma comme métier et comme moyen d’expression.

En seconde partie de l’ouvrage, un très important dossier rassemble un choix de textes, un dictionnaire des principaux décorateurs et des films les plus marquants, un répertoire professionnel, un lexique, des index et nombreux documents iconographiques.

Mais en Crimée 106, Léon Barsacq est mort décembre 1969 après avoir mit la dernière main à son livre qui est le fruit d’une longue expérience personnelle du décor de film.

Il était l’un des tout premiers décorateurs de films français et étrangers. On lui doit notamment le décor de nombreux films de René Clair, qui est ici son préfacier.

  • Taille : 28cm x 21.5cm
  • Sommaire
  • Note de l’éditeur pg5
  • Préface de René clair, de l’Académie française pg7
  • Avant-propos pg9
  • Histoire. L’optique cinématographique et l’évolution du décor pg11
  • Décors peints. Les primitifs français - 1895 - 1914 pg13
  • Décor construit. L’Italie - 1910 - 1915 pg23
  • Les tats-Unis - 1915 - 1920 pg25
  • Recherches esthétiques. La Suède 1917 - 1922 pg29
  • L’Allemagne 1919 - 1926 pg30
  • La France 1918 - 1926 pg37
  • Décors naturels. L’URSS 19 125 130 pg49
  • Triomphe du réalisme. Hollywood après 1920 pg53
  • La France après 1926 pg59
  • La Grande-Bretagne après 1930 pg82
  • L’URSS après l’avènement du parlant pg90Néoréalisme. L’Italie après la seconde guerre mondiale pg97
  • Nouvel essor. L’influence du néoréalisme pg107
  • Enrichissement des traditions nationales : la Suède pg108
  • Le Japon pg109
  • Nouvelle vague - Cinéma-vérité pg110
  • Technique. Rôle du décor dans le film et sa conception pg111
  • Etude des décors. La documentation pg117
  • Les films me dit d’ »époque » 1815 1915 pg120
  • Les films historiques pg124
  • Les films de music-hall, les films musicaux, les films ballets pg129
  • Les films fantastiques pg134
  • Couleurs et techniques nouvelles. La couleur pg139
  • Variation des formats : anamorphose, écran large, film large pg148
  • Le relief pg151
  • Réalisation des décors. Les studios pg153
  • La préparation des films pg156
  • Le personnel employé pg163
  • La cons truction des décorspg165
  • Trucage pg175
  • Conclusion pg187
  • Dossier. Quelques réflexions sur le décor pg189
  • Histoire du décor et du cinéma pg199
  • Biographie des 100 principaux décorateurs de film pg213
  • Filmographie des 110 film marquant dans l’histoire du cinéma pg221
  • Lexique pg229
  • Répertoire professionnel pg243
  • Index. Film cité pg249
  • Index. Non citépg265
  • Bibliographie pg269
Le Cid - Tragédie
1682
Guillaume de Luyne Libraire
Le Cid - Tragédie
Auteur : Pierre Corneille

Par Grâce et Privilège du Roy, donné à Saint-Germain-en-Laye, le 17 jours d’avril, l’an de gârce 1679. Signé, par le roi en son Conseil d’Alence, il est permis à Guillaume de Luyne, libraire juré de notre belle ville de Paris, d’imprimer les Oeuvres de Théâtre des sieurs Corneille frères, pendant le temps de dix années entières et accomplir : et défenses sont faites à qui que ce soit de les imprimer sans le consentement dudit de Luyne, à peine de trois mille livres d’amende, de tous dépens, dommages, et intérêts, comme il est plus amplement porté par lesdites Lettres.

Registré sur le livre de la Communauté, le 18 avril 1679. Signé, Courterot Syndic.

Achevé d’imprimer pour la première fois, le 14 avril 1682.

Et le dit de Luyne a fait parent du privilège ci-dessus à tienne Loyson, et Pierre Traboüillet, suivant l’accord fait entre eux.

  • Taille : 14cm x 8,5cm
  • Le Cite, tragédie.
  • Acte I.
  • Scène première.
  • Chimène et Elvire. pg1
  • Scène II.
  • L’infante, Léonard, page. pg3
  • Scène III.
  • Le compte, Don Diègue. pg6
  • Scène IV.
  • Don Diègue. pg10
  • Scène V.
  • Don Diègue, Don Rodrigue. pg11
  • Scène VI.
  • Don Rodrigue. pg12
  • Acte II.
  • Scène première.
  • Don Arias, le Comte. pg15
  • Scène II.
  • Le Comte, Don Rodrigue. pg17
  • Scène III.
  • L’infante, Chimène, Léonard. pg19
  • Scène IV.
  • L’infante, Chimène, Léonard, Le Page. pg22
  • Scène V.
  • L’infante, Léonard. pg22
  • Scène VI.
  • Don Fernand, Don Farias, Don Sanche. pg24
  • Scène VII.
  • Don Fernand, dont Sanche, Don Alonse. pg27
  • Scène VIII.
  • Don Fernand, Don Diègue, Chimène, Don Sanchez, Don Arias, Don Alonse. pg28
  • Acte III.
  • Scène première.
  • Don Rodrique, Elvire. pg32
  • Scène II.
  • Don Sanche, Chimène, Elvire. pg33
  • Scène III.
  • Chimène, Elvire. pg34
  • Scène IV.
  • Don Rodrigue, Chimène, Elvire. pg37
  • « Va, je ne te hay point. » pg41
  • Scène V.
  • Don Diègue. pg43
  • Scène VI.
  • Don Diègue, Don Rodrigue. pg44
  • Acte IV.
  • Scène première.
  • Chimène, Elevire. pg47
  • Scène II.
  • L’infante, Chimène, Leonor, Elvire. pg49
  • Scène III.
  • Don Fernand, Don Diègue, Don Arias, Don Rodrigue. pg51
  • Scène IV.
  • Don Fernand, Don Diègue, Don Arias, Don Rodrigue, Don Alonse, Don Sanche. pg55
  • Scène V.
  • Don Fernand, Don Sanche Don Arias, Don Alonse, Don Diègue, Chimène, Elvire et Don Fernand. pg56
  • Acte V.
  • Scène première.
  • Don Rodrigue, Chimène. pg63
  • Scène II.
  • L’Infante. pg64
  • Scène III.
  • L’infante, Léonore. pg65
  • Scène IV.
  • Chimène, Elvire. pg67
  • Scène V.
  • Don Sanche, Chimène, Elvire, pg69
  • Scène VI.
  • Don Fernand, Don Diègue, Don Arias, Don Snche, Don Alonse, Chimène, Elvire. pg70
  • Scène VII.
  • Don Fernand, Don Diègue, Don Arias, Don Rodrigue, Don Snche, Don Alonse, L’Infante, Chimène, Léonore, Elvire.
PQ of Performance Design and Space 2011
2011
Arts And Theater Instit.
PQ of Performance Design and Space 2011
Auteur : Pavia Petrova

ISBN : 9788070082591

Dear friends of contemporary theatre design,

I don’t think I need to tell you all the ways in which the Prague Quadrennial is unique. The greatest event of its kind in the world, organized with financial support from the EU, is simply predestined to be talked and written about in superlatives even before it starts. I firmly believe and earnestly hope, in the name of all the organizers, that it will be talked and written about in the same spirit even after it has concluded, and that tens of thousands of loyal and new theatregoers from all corners of the world will take home memories of a wonderful June experience in Prague.

Considering the nature of this event, I will take the liberty to add one more quite important wish. Let us hope that, from 16 to 26 June 2011, the weather will be in our favour !

Jiří Besser

Minister of Culture of the Czech Republic

  • Taille : 27cm x 21cm
  • Content.
  • Introduction. pg8
  • PQ Council. pg11
  • Opening Statements. pg14
  • Jury. pg24
  • PQ Awards. pg27
  • List of Participating Countries and Regiones. pg28
  • Exhibition Countries and Regions. pg30
  • Projects. pg272
  • Index. pg316
  • PQ Team. pg324
Josef Svoboda
2004
l'Âge d'Homme
Josef Svoboda
Auteur : Denis Bablet, Danièle Monmarte

ISBN : 282511667X

60 ans de théâtre… Josef Svoboda, né en 1920, s’est éteint en avril 2002. Architecte et scénographe, il commence à travailler au théâtre en 1943, collabore avec Alfred Radok et Otomar Krejca au Théâtre National de Prague. L’histoire du théâtre za branou (théâtre derrière la porte) fondée en 1965 par Krejca (et fermé en 1972 par une décision arbitraire du pouvoir en place) est inséparable du nom de Svoboda. En 1958, il présente à Bruxelles Laterna Magika et développe le principe du « polyécran » qui l’a inventé. Depuis 1963, il crée des scénographies dans le monde entier.

Svoboda été fasciné par la musique (il a signé de nombreux décor d’opéra) et par la lumière dont il a fait l’un des principaux éléments de ces scénographies. Bricoleur et ingénieur, il a su s’intéresser aux technologies modernes des images et du son, sans jamais cesser de penser la présence de l’acteur dans les espaces magiques.

Denis Bablet a fait connaître en France l’ouvre de Josf Svoboda. Cet ouvrage traite de son activité jusqu’en 1970. Il est complété, pour cette réédition, par une iconographie et une chronologie qui prenne en compte la totalité de l’oeuvre immense (près de 700 titres) de ce grand scénographe tchèque de réputation internationale.

  • Taille : 22cm x 15cm
  • Table des matières.
  • Avant-propos. pg7
  • La formation. pg9
  • Une démarche. pg17
  • Un espace psychoplastique. pg57
  • L’homme, la scène est l’image. pg111
  • Vers un théâtre atelier. pg157
  • L’unité d’une ouvre. pg165
  • Annexes.Luigi Nono : Josef Svoboda. pg171
  • Virginio Puecher : la mise en scène d’Atomtod et le travail de Josef Svoboda. pg174
  • Prix et distinctions obtenues par Josef Svoboda. pg185
  • Chronologie des scénographies et réalisation de Josef Svoboda. pg187
  • Filmographie et bibliographie sélective. pg233
  • Index des noms et oeuvres citées. pg235
Les automates
1994
Musée de l'Automate de Souillac
Les automates
Auteur : Thierry Dehan

En conclusion,

Bien des années se sont écoulées depuis les premiers automates égyptiens et ceux présenter au Musée de l’automate de Souillac. Aujourd’hui, au seuil d’un nouveau siècle hautement technologique, on ne peut être que frapper par le contraste qu’il existe entre la simplicité des principes mécaniques et la subtilité de l’ensemble des mouvements qui donnent l’illusion de la vie à ces automates.

Retracer l'histoire et découvrir le secret des mécanismes n'est pas suffisant pour saisir toute la fascination qu'ils exercent sur nous.

encore faut-il tenter de comprendre en vertu de quoi - ou deux qui tiraient tant d’ingéniosité, d’invention, de patience et de persévérances ont été investies dans ces mécaniques animées.

Et si l’emportait, sur les automates, un autre regard.

  • Taille : 29,5cm X 21cm
  • Petite histoire. pg1
  • Les mécanismes. pg3
  • Les corps. pg5
  • Un autre regard. pg8
Penser la lumière
2017
Actes Sud Ed.
Penser la lumière
Auteur : Dominique Brugière

ISBN : 9782330084004

En quelques décennies, les éclairages sont devenus l'une des données majeures des créations contemporaines et l'objet de nombreuses expérimentations scéniques. Dans ce premier livre consacré à la lumière, l'une de ses artistes les plus reconnues, Dominique Bruguière, offre un récit à la fois sensible et théorique sur cette nouvelle approche du théâtre, témoignant de quelques-uns de ses riches compagnonnages, avec Claude Régy, Jérôme Deschamps, Patrice Chéreau...

Elle rend compte ici du cheminement nécessaire à la composition de la lumière et de la façon dont cette matière impalpable dialogue avec tous les enjeux de la mise en scène : la scénographie, le jeu des acteurs, le rythme de la représentation. Ce livre est la transmission d'une expérience foisonnante où le lecteur perçoit le déroulement de la pensée et son développement dans l'imaginaire.

Depuis plus de trente ans, Dominique Bruguière crée des lumières pour le théâtre, l'opéra et la danse. Prix de la critique pour Quelqu'un va venir, Les Variations sur la mort et Pelléas et Mélisande, elle a reçu deux Molière, pour Phèdre et Rêve d'automne. Ce livre est né d'une série d'entretiens avec Chantal Hurault, docteure en études théâtrales, membre du comité de ne-diction d'Alternatives théâtrales, responsable des publications et de la communication du Théâtre du Vieux-Colombier, Comédie-Française.

  • Taille : 22cm x 11,5cm
  • Table.
  • Avant-propos de Georges Banu : « Génération Lumière ». pg7
  • Préface de Chantal Hurault : la théâtralité de la lumière. pg29
  • Entre observation et fascination. pg33
  • La gamme infinie des matières. pg44
  • L’ombre comme altérité. pg53
  • Dialogue silencieux avec les acteurs. pg58
  • Chaque décor pourtae en lui sa lumière. pg65
  • Résonances cosmiques. pg83
  • La course du soleil. pg101
  • Graver le temps. pg107
  • Vers l’épure. pg111
  • Traversées sensibles et sensuelles. pg117
  • Postface de Christophe Honoré. pg129
  • Création lumière de Dominique Bruguière. pg131
  • Crédits photographiques. pg151
Picasso et le théâtre
1967
Editions Cercle d'Art
Picasso et le théâtre
Auteur : Douglas Cooper

L'expérience théâtrale de Picasso, en même temps qu'elle lui a permis de réaliser les oeuvres comptant parmi les plus originales et les plus puissantes de ce siècle, de même qu'elle constitue un champ d'investigation pour son art, a été la mesure qu'il a prise du monde.

Les saltimbanques et les acrobates non seulement ont été suivis de danseurs ou de toreros et d'innombrables autres personnages, mais ensemble ils ont préfiguré l'envol des milliers de colombes, messagères de la paix; ils n'ont fait que précéder les dénonciations retentissantes des guerriers-massacreurs de Guernica ou de Corée.

L'ouvrage contient près de 500 illustrations, des pages manuscrites de la pièce de théâtre de Picasso: Le Désir attrappé par la queue, et un supplément des dix-huit projets originaux de Picasso pour ce livre.

  • Taille : 32cm x 28cm
  • Table des matières.Répertoire des spectacles créés avec la participation de Picasso.En guise de préface. pg1
  • I - Picasso et le théâtre. pg3
  • II - Le Théâtre dans la peinture de Picasso : 1899-1915. pg5
  • III - Parade : 1916-1917. pg8I
  • V - Parade et la peinture de Picasso : 1915-1925. pg18
  • V - Le Tricorne : 1919. pg25
  • VI - Pulcinella : 1920. pg29
  • VII - Cuadro Flamenco : 1921. 34
  • VIII - Antigone, Mercure ey autres spectacles : 1922-1925. pg36
  • IX - Influences réciproques du théâtre et de la peinture : 1919-1925. pg45
  • X - Participation de Picasso à quelques spectacles plus récents : 1936-1962. pg50
  • XI - Le Théâtre au service de Picasso. pg54
  • Documents annexes inédits. pg289
  • Trois lettres de Picasso. pg291
  • Pages manuscrites de « Désir attrapé par la queue ». pg293
  • Onze lettres de Satie. pg301
  • Pages du carnet de travail de Jean Cocteau pour Parade. pg305
  • Bibliographie. pg309
IV, registres du Vieux Colombier II, America
1984
Gallimard
IV, registres du Vieux Colombier II, America
Auteur : J. Copeau, M-H. Dasté, S.Maistre Saint-Denis

ISBN : 20707015812

Après les deux premiers volumes des Registres de Jacques Copeau, Appels et Molière, voici le récit d'une aventure à laquelle on se réfère souvent sans toujours la connaître. Ce récit, reconstitué grâce aux correspondances, témoignages et textes contemporains, conservés puis organisés et classés, retrace un moment unique de vie : l'aventure d'un groupe, d'une compagnie, entraînés par un homme doué de vision. Ce récit nous concerne parce que la ferveur, l'intrépidité, l'implacable exigence envers soi-même y sont exemplaires. Chacun, non seulement au travers des créations offertes au public, mais des tentatives, des pressentiments, des rêves qui les entourent, reconnaîtra toutes les interrogations du théâtre d'aujourd'hui. Ce récit nous concerne tous parce qu'il se place aux racines de notre temps. Des documents de haute valeur (les correspondances notamment) font apparaître dans un éclairage inconnu à ce jour des hommes tels que André Gide, Roger Martin du Gard, Jean Schlumberger, Gaston Gallimard, ou tels que Louis Jouvet et Charles Dullin. Après la fondation de La Nouvelle Revue Française, il nous fait vivre la première saison du Théâtre du Vieux-Colombier, puis l'épreuve de la guerre qui ne détruit pas l'œuvre commencée mais fortifie les amitiés. Nous assistons enfin au départ de la jeune troupe, en mission de propagande, pour les États-Unis.

  • Taille : 20,5cm x 14cm
  • Préface. pg9
  • América I. Premier voyage de Jacopo aux Etats-Unis. pg21
  • L’été en France. pg111
  • América II. New York. pg165
  • Première saison du Vieux-Colombier à New York. pg171
  • L’été à Cedar Court. pg283
  • Deuxième saison du Vieux-Colombier à New York. pg331
  • Epilogue. pg449
  • peine 10. pg489
  • Notes. pg573
  • Index . pg609
Eloge de l'Ombre
1993
Publications Orientalistes de France
Eloge de l'Ombre
Auteur : Tanizaki Junichirô, René Sieffert

ISBN : 2716903069

Un amateur d’architecture qui, de nos jours, veut se faire concert une demeure de pur style japonais, se prépare bien des déboires avec l’installation de l’électricité, du gaz et de l’eau, et nuit en soi-même fait l’expérience de construire, il suffit d’entrer dans une salle de maisons de rendez-vous, de restaurant ou d’auberge, pour se rendre compte des efforts qu’il aura fallu déployer pour intégrer harmonieusement ces dispositifs dans une pièce de style japonais.

moins que l’on ne soit de ces amateurs de thé qui, dans leur suffisance, traite par le mépris les bienfaits de la civilisation scientifique, et qui établissent leur « chaumière » au fonds de quelques campagnes reculées, dès lors que l’on est à la tête d’une famille d’une certaine importance et que l’on habite la ville, je ne vois pas quoi l’on tournerait le dos, sous prétexte que l’on veut sa maison aussi japonaise que possible, au calorifère, au luminaire, aux installations sanitaires, toute chose inséparable de la vie moderne. Bien entendu, un homme tant soit peu méticuleux se torturera les méninges pour la moindre chose, le téléphone par exemple, qu’il reléguera sous un escalier, ou dans un coin de couloir, là où ils risquent le moins d’attirer l’oil. Il fera enterrer les fils électriques dans la traversée du jardin, dissimuler les commutateurs dans les placards, sous les étagères, courir les lignes intérieures à l’ombre de paravents, de telle sorte qu’il arrive, parfois, qu’aux termes de tant d’ingéniosité l’on éprouve quelques agacements devant cet excès d’artifice.

Une lampe électrique est désormais chose familière à nos yeux ; alors, pourquoi ces 2000 mesures au lieu de laisser tout bonnement en l’ampoule à nu, muni d’un banal abat-jour en verre mince élite, qui donnera l’impression du naturel et de la simplicité. Il m’est arrivé le soir , en regardant la campagne par fenêtre d’un autre, d’apercevoir, à l’ombre desshöji dunes maisons de paysans, et ampoules qui brillaient solitaire sous un de ses mains ses abat-jour désuets, et de trouver cela d’un got exquis.

Un ventilateur par contre est une autre affaire, car ni son bruni sa forme s’accorde aisément au style d’une pièce japonaise. Dans une maison ordinaire, si vous n’aimez pas cela, vous pouvez toujours vous en passer ; mais dans un établissement destiné à accueillir des clients en été, il ne peut être question de se conformer au seul got du propriétaire. Mon ami le patron du Kaïraku-en, assez fin connaisseur en matière d’architecture, tient les ventilateurs en horreur et s’est longuement refusé en faire installer dans les chambres ; mais tous les ans, était venu, il avait à subir les doléances des clients, de sorte qu’il a finie par céder.

Tanizaki Junichirô

  • Taille : 24cm x 16cm
  • Préface. pg7
  • Eloge de l’Ombre. pg15
  • Glossaire. pg105
  • Oeuvres de Tanizaki Junichirô. pg111
Dernière Pirouette
1946
Editions du Sagitaire
Dernière Pirouette
Auteur : Lugné-Poe

Avant-propos.

La publication de ses pages du subir un retard que les derniers événements ont entraîné. Plusieurs fois, d’ailleurs, je me suis interrogé si certains souvenirs restais encore utile à devoir être consigné. Mais nous avons eu des « mouvements artistiques », ces 20 dernières années, ayant produit de tels effets, entraîner de telles manifestent patient, qu’il apparaît nécessaire d’en consigner les relations qu’elles ont eues avec la vie de « l’Oeuvre ».

Avons-nous assez subi, par exemple le bourrage de crne des manifestations russes, mise en scène, discipline des troupes, etc… J’ai eu l’occasion de connaître fort bien les chefs de file de ces mouvements qui me déclaraient sur un petit temps assez méprisant et souriant que nos gens du Boulevard ne feraient jamais rien pour émanciper la vraie vie artistique, « la noblesse résidant dans les cours de nos amis peintres, décorateur et poète, etc., etc. ».

Je l’ai déjà dit, un des plus célèbres d’entre eux, Constantin Alexeieff Stanislavsky, fréquenta notre Conservatoire de Paris vers 1892. Mais grattez le Russe et vous trouverez toujours l’Asiate. Et lui autant que d’autres méprisaient la misère de notre domaine artistique. Maintes fois je le sollicite tes devenirs à Paris, de nous montrer ses mises en scène. Il me répondait toujours qu’il arriverait plutôt à persuader les Allemands que des Français… D’ailleurs, il me réservait toujours un accueil cordial, puisque qu’il me permit de faire une conférence sur la scène du Thétre artistique de Moscou en 1915.

Mais voilà qui peut fixer la niaiserie des poires qui se sont faites ces thuriféraires bien souvent. En 1906 je prie que Stanislavsky avait monté l’Oiseau Bleu de Materlinck. il me paraît juste de lui demander d’en donner la primeur à Paris ou Bruxelles - précisément il était en vacances au bord de la mer en Belgique. - Je trans crie la lettre qu’il me répondit, et je lui laisse pour compte son ton de dédain d’un affecté sans le savoir - du rôle benêt qu’il m’attribue :

Cher Monsieur et Maître,

on m’a renvoyé votre lettre de Moscou. Par cause de voyage, je ne l’ai reçu qu’aujourd’hui. Pardon pour le retard occasionné, la faute n’en est pas à moi.

Les bruits des journaux sont faux. L’Oiseau Bleu n’est pas encore joué, aucun projet pour le voyage à Paris n’est fait. Quant aux autres pièces du répertoire russe, je ne crois pas qu’elle puisse intéresser le public français qui a ses exigences toutes spéciales. Votre talent et votre activité que j’admire, n’ont pas toujours pu vaincre échanger les gots du public parisien.

Je souhaite de tout cour que votre énergie ne faiblisse. Et que, soutenu par la fermeté et la persévérance qui vous sont propres, et détruisent les traditions vieilles.

Je vous souhaite énergie et succès et je vous prie de recevoir mes salutations respectueuses.

C. Alexieff (Stanislavsky).

Westland, 10 août 1908.

… Oui, l’erreur russe a fait patauger beaucoup de nos intellectuels de la scène. Et dire qu’ils y croient encore ! 910, le père de notre cher Georges Pitoëff, M. Jean Pitoëff, délégué des thétres russes à Paris, comme il s’intitulait, admettait que « l’Oeuvre » pourrait être le théâtre-champion des mises en scène russe.

Quelque admiration qu’on puisse avoir pour leurs écrivains, leurs artistes, trop souvent nous ne devons pas été que des naïfs.

Lugné Poe

  • Taille : 18,5cm x 12,5cm
  • Table des matières.
  • Avant-propos. pg7
  • Chapitre
  • I. Ce pauvre Alfred Savoir. pg11
  • Chapitre II.
  • Paul Claudel, vivifieet sanctifie l’Oeuvre. pg27
  • Chapitre III. pg55
  • Chapitre IV.
  • Le Cygne d’Orthez et quelques autres. pg79
  • Chapitre V.
  • Tout est à recommencer. pg103
  • ChapitreVI. Un four. Fusée. Ruth Draper. pg133
  • Chapitre VII. pg155
  • Chapitre VIII.
  • Faites-en autant. pg173
  • Claudel et Marie Kalff point pg181
  • Notre remise par Claudel à l’Oeuvre. pg187
  • Comment Jean Variot voyait les décors de l’Annonce. pg192
  • Quelques lettres de Francis Jammes à Lugné-Poe. pg198
  • Extrait d’une lettre de Mlle Gladys Maxhence. pg207
  • Extrait de la brochure rédigée par Ch. Plumet. pg209
  • Programme de la ligue d’art dramatique et littéraire. pg211
  • Note sur Max Reinhardt. pg203
His. Th. français en Be. depuis origine à nos jours-Tome I
1878
Arch. géné. du Royaume
His. Th. français en Be. depuis origine à nos jours-Tome I
Auteur : Frédéric Faber

Préface.

Je n’ai pas la prétention, en publiant une Histoire du Théâtre Français en Belgique, d’avoir fait un ouvrage irréprochable. Je laisse ce soin à de plus forts que moi, me considérant comme heureux si mes recherches peuvent leur être de quelque utilité.

Le manque de documents, l’abandon dans lequel a été laissée cette branche importante de notre littérature nationale, le peu d’ouvrages dramatiques indigènes que renferment nos bibliothèques publiques, ont rendu ma tâche ardue et difficile.

L’essentiel, dans un ouvrage de cette nature, était d’arriver à être int »ressant tout en restant méthodique. J’ai dpnc partagé mon travail en deux parties principales :

1°. La Belgique sous la domination étrangère;

2°. La Belgique indépendante;

Qui ont chacune comme subdivisions deux titres généraux :

I. Partie historique;

II. Partie bibliographique.

La partie historique est suivie d’une annexe, dans laquelle, pour ne pas grossir inutilement le texte, j’ai groupé tous les documents destinés à venir à l’appui des faits que j’avance.

Quant à la bibliographie elle se compose de :

1°. Les Ecrits relatifs au théâtre;

2°. Les Oeuvres dramatiques.

Il m’a semblé intéressant, pour ces derniers, de distinguer les auteurs belges de naissance ou naturalisés, des étrangers ayant produit quelques oeuvres dramatiques en Belgique. Elle comprend donc trois classes /

1°. Les Auteurs belges;

2°. Les Auteurs étrangers;

3°. Les Anonymes.

Enfin, en dernier lieu, je fais suivre chacune des deux parties principales, de tables renseignant :

1°. Les Auteurs cités;

2°. Les ouvrages dramatiques, dont il a été question.

Je remercie ici les personnes qui, par leur complaisance, ont facilité ma tâche. Les encouragements que j’ai reçu de toute part m’ont soutenu dans les moments où il me semblait que l’aridité du travail surpassait ma bonne volonté, et, en exprimant ma reconnaissance à ceux qui m’ont aidé de leur savoir, je réclame l’indulgence de mes lecteurs, les priant de considérer surtout le but de mon ouvrage, qui a été d’êtreutile à mes compratriote.

F. Faber

  • Taille : 24cm x 17cm
  • Table des matières.
  • Préface.
  • Chapitre premier.
  • Origines.
  • - Cortèges historiques.
  • - Entremets dans les festins princiers.
  • - Chambres de rhétorique.
  • - Entrées solennelles de souverains.
  • - Mysères, moralités, etc. pg1
  • Chapitre II.
  • Les Auteurs dramatiques de la première période (jusqu’en 1700). pg17
  • Chapitre III.
  • Les Collèges de la Compagnie de Jésus, en Belgique. pg39
  • Chapitre IV.
  • Les origines de l’Opéra en Belgique. pf51
  • Chapitre V.
  • Installation du théâtre régulier. pg79
  • Chapitre VI.
  • Le Théâtre Français dans la principauté de Liège, depuis son origine jusqu’à la Révolution de 1789. pg135
  • Chapitre VII.
  • Le Maréchal de Saxe et Favart.
  • - Les Comédiens Français du Comte de Lowendahl. pg163
  • Chatire VIII.
  • Le Théâtre Français en Belgique, après le départ du Maréchal de Saxe, jusqu’en 1766. pg193
  • Chapitre IX.
  • Les Comédiens Ordinaires de S.A.R. le Prince Charles de Lorraine 1766-1790. pg227
Illus. eprat. the.-Inter. fiorentini Opera comica veneziana
1975
Neri Pozza Editore
Illus. eprat. the.-Inter. fiorentini Opera comica veneziana
Auteur : F. Mancini, M T Muraro, E. Povoledo

Non v’è dubbio che la maggior difficoltà che nasce nelle invenzioni delle Scene Teatrali, ed anche altre prospettive di tal sorte, è quelle della differenza della prima idea fino all’ultimo termine di porla in opera, perché cala tanto, che alle volte non si conosce per quella che fu in mente formato nell’intelletto l’idea; se ne forma uno schizzo, o abbozzo, quale assai cala dal primo concetto; poi si disegna in carta secundo le regole della prospettiva ed architettura, ma per tali soggezione sminuisce assai; poi si disegna in opra, e tanto più va perdendo quello spirito che fu prima in idea; infine si dipinge e colorisce secondo l’arte, ma sempre in vece di crescere cala molto, ancorché per molto spirito e talento abbi chi opera ». (F. Bibiena, Direzione a giovani studenti nel Disegno dell’Architettura Civile …, Bologna, 1731-1732, Operazione (69).

Il ne fait aucun doute que la plus grande difficulté qui se pose dans les inventions des scènes théâtrales, et aussi d'autres perspectives de ce destin, est celle de la différence de la première idée jusqu'au dernier terme pour la mettre en œuvre, car elle tombe tellement, que parfois elle ne le fait pas nous savons par quoi l'idée s'est formée dans l'intellect; une esquisse ou une esquisse en est formée, ce qui est loin du premier concept; puis il est dessiné sur papier selon les règles de la perspective et de l'architecture, mais pour ces crainte, il diminue considérablement; puis il se dessine en opra, et d'autant plus que l'esprit qui était le premier dans l'idée perd; enfin, il peint et colore selon l'art, mais toujours au lieu de grandir il baisse beaucoup, même si pour beaucoup d'esprit et de talent il y a ceux qui travaillent ". (F. Bibiena, Direction aux jeunes étudiants en conception d'architecture civile ..., Bologne, 1731-1732, Opération (69)

  • Taille : 21,5cm x 16cm
  • Indice del volume.
  • Presentazione di Gianfranco Folena. pg7
  • Criteri della Mostra. pg9
  • Lorenzo Bianconi : Scena, musica e pubblico nell’opera del Sciento. pg15
  • Perluigi Petrobelli : Lo spacio e l’azione scenica nell’opera seria ettecentto. pg25
  • F. Mancini, M.T. Muraro; E. Povoledo : Guida e catalogo della Mostra. pg31
  • Sebastiano Serlio : La scena fissa rinascimentale. pg33
  • Bernando Buontalenti : Gli Intermedi e la scena mutevole. pg41
  • Alfonso Parigi : La scena nelle festa musicale. pg49
  • Jacopo Torelli : La scena come macchina. pg54
  • Ferdinando Tacca : Il fiorire della tipologia scenica. pg69
  • Marcantonio Chiarini : Alla ricerca di nuovi schemi prospettici. pg73
  • Ferdinando Galli Bibiena. pg87
  • L’architetto in teatro : Filippo Juvarra e Luigi Vanvitelli. pg97
  • Pietro Righini : Il modello replicato. pg102
  • Domenico Barone : Il vero a corte. pg109
  • Carlo Goldoni : L’opera comica veneziana. pgpg118
  • Fabrizio e Bernardino Galliari : La scena quadro. pg124
  • Perfezione e declino dell’illusionismo. pg128
  • L’orchestra, il balletto, genesi di uno spettacolo. pg135
  • Nino Pirrotta : Il luogo dell’orchestra. pg137
  • Marian Hannah Winter : Il balletto e lo spazio scenico. pg147
  • Mercedes Viale Ferrero : Enea nel Lazio : il melodramma e l’antichita classica. pg161
  • Illusione e pratica teatrale nei trattatisti (schede bibliografiche a cura di Rosanna Piscitelli Mancini). pg169
  • Indice delle collezioni e biblioteche. pg177
  • Indice dei modelli esposti. pg179
  • Indice dei nomi. pg181
Scénographie Sémiographie
1971
Denoël-Gonthier
Scénographie Sémiographie
Auteur : Jacques Polieri

ISBN : 978-2282201511

Créateur de la scénographie moderne, théoricien, Jacq ues Polieri a également produit d’importantes réalisations. Il a mis en scène les plus grands écrivains contemporains. Mallarmé, Kafka, Pirandello, Ionesco, Beckett, Tardieu, butor, etc., est conçu lui-même des spectacles dont il est à la fois l’auteur et le réalisateur.

De plus il a construit des salles édifiées des lieux de conception révolutionnaire (théâtre mobile à scènes annulaires, théâtre du mouvement total, etc.) un peu partout dans le monde.

En fait, les recherches publiées dans cet ouvrage dépassent le cadre et l’étude des communications à l’intérieur des lieux clos et tendent à dégager à mettre en place une théorie plus générale qui intéressé concerne l’environnement tout entier.

  • Taille : 22cm x 14cm
  • Table.
  • Il faut resituer. pg5
  • Terminologie. pg7
  • I - Textes manifestes.
  • Le théâtre kaléidoscopique. pg17
  • Partition pour un théâtre non-figuratif. pg19
  • Pour une nouvelle dimension scénique. pg23
  • II - Espace scénographique.
  • Architecture et scénogr aphie. pg29
  • L’espace scénique nouveau. pg33
  • III - Programmes.
  • Avant-projet.
  • Pavillon oecuménique de l’exposition universelle de Montréal. pg47
  • Note pour un p rogramme de recherche. pg59
  • Techniques scéniques.Théâtre du mouvement total. pg69
  • Scénographie de l’image électronique.pg77
  • IV - Arguments
  • -Partitions.
  • Systématisation.
  • Gamme de 7. pg89
  • Gamme de 21. pg93
  • Systématisation de l’espace scénographique. pg99
  • Système de notation pour une mise en scène à trois dimensions. pg109
  • Salle à mouvements complexes. pg113
  • Partitions-Spectacle.
  • Famille de gestes. pg123
  • Gamme de 7.
  • Argument pour un spectacle. pg125
  • Le livre de Mallarmé. pg133
  • Scénographie C. pg141
  • Ballet-rogrammes Miro. pg149
  • Sémiographie d’une partition. pg183
  • V - Sémiographie et environnement.
  • Comptabilité et caractéristiques techniques des types urbains « d’activités culturels » et incidence sur les comportements. pg191
  • Environnement, technique audio-vidéo et communication. pg199
  • Principaux travaux de Jacques Polieri. pg231
  • Références. pg239
Traité prat. perspective photographie-dessin appliqués à l'architecture et paysage
1983
Ed. de la Villette
Traité prat. perspective photographie-dessin appliqués à l'architecture et paysage
Auteur : Eric Jantzen

ISBN : 9782903539078

Tout comme le premier ouvrage de la collection « Savoir-faire de l’Architecture », cette nouvelle publication des Editions de La Villette s’adresse non seulement aux étudiants architectes mais aussi à tous ceux qui, de par leur profession ou leur intérêt personnel, souhaitent mieux connaître les différentes approches de la représentation en architecture.

Alliant la technique classique du dessin à l’usage prospectif de la photographie, Monsieur Eric Jantzen mais à notre portée un outil de travail indispensable.

Jean-Claude Thoret, Directeur, septembre 1983

  • Taille : 32cm x 24cm
  • Table des matières.
  • Introduction. pg7
  • 12 exemples. pg9
  • 1. Projection conique : Perspectives - Photographies. pg65
  • 2. Perspectives : Construction. pg79
  • 3. Maquettes. pg101
  • 4. Photographies. pg109
  • 5. Photomontage. pg155
  • 6. Dessin et rendu. pg165
  • 7. Graphi-montage. pg177
  • 8. Reproduction et tirages en petites séries. pg184
  • Références des illustrations. pg187
Un Théâtre d'Opéra-L'Equipe G. Mortier-La Monnaie
1986
Duculot
Un Théâtre d'Opéra-L'Equipe G. Mortier-La Monnaie
Auteur : Jean-Marie Piemme, Benoit Vreux

ISBN : 2801106860

Avant-propos

Le spectateur qui, un soir de spectacles, s’assied dans les fauteuils rouges de l’opéra sait toujours confusément que son plaisir est fabriqué par d’autres, il devine dans la magie la main du magicien. Ce spectateur aime s’étonner, s’éblouir, s’oublier, dans les élans insensés des personnages. Avec eux, il est haine et amour, constance et fidélité, allégresse et deuil. Avec eux, il est pleinement lui-même ou un autre. Lorsque l’entracte arrive et que le quotidien reprend ses droits, l’envie parfois le poussa soulever un coin du rideau qui vient de tomber. Il voudrait se lever et se hisser discrètement dans la coulisse pour découvrir l’envers du théâtre. Il s’imagine au coeur du mystère découvrant les sorciers à leurs obscures besognes. Mais si d’aventure, il pouvait franchir la rampe interdite, il serait surpris de ne voir pour toute alchimie que de simples hommes au travail qui font des gestes précis à des moments fixés. Il entre trop de mythologie légitime dans l’activité de l’opéra pour ne pas rappeler, avec quelqu’insistance au besoin, combien les pratiques de la scène engagent l’effort journalier de chacun. Dans les tches d’exécution et de création, l’exigence est de rigueur : sans elle présente, les dieux de l’art thétral et musical ne daignent jamais paraître, et la fête qui s’annonçait prometteuse s’achève dans une triste caricature d’elle-même.

D’un spectacle réussi, on emporte en sortant de la salle une pleine de mémoire d’images et de sons qui s’imposent à vous longtemps après que le rideau se soit baissé. Le temps efface la représentation, éphémère en son principe ; en revanche, il permet à celle-ci de déployer dans l’imaginaire des hommes ses effets les plus profonds. Mais la mémoire parfois aime s’arrêter à des traces concrètes qui réveillent en elle les souvenirs assoupis. Regardant les images ici proposées, vous entendrez peut-être la musique qui leur manque est sans doute imaginerez-vous à nouveau le rideau qui se lève. Les textes, quant à eux, disent un peu ce que nous sommes, il témoigne de l’esprit qui oriente le travail actuel et des interrogations qui le nourrissent lorsqu’il s’agit de faire l’opéra d’aujourd’hui. Voilà donc un document subjectif qui raconte une équipe un moment de son trajet.

Nous n’avons jamais écrit en historiens, conscient qu’une pareille démarche requérait des compétences spécifiques. Pourtant le passé de la Monnaie ne nous a pas laissé indifférent car ce n’est pas impunément qu’on habite un lieu vieux de trois siècles.

Notre maison est peuplée d’ombre. Aux soirs de spectacle, quand le public est là et qu’il attend le souffle digne de la représentation, d’étranges spectres rôdent dans la salle. On dit qu’ils ont vécu la très longtemps, travaillant eux-mêmes aux oeuvres de ce qui n’était pas encore le répertoire. Ils asistent en secret à notre travail et certains d’entre eux, proches de nos efforts, devinent à demi-mot la part qu’ils ont dans les voies que nous empruntons. Avant nous, ils ont célébré les noces de l’opéra et du théâtre. La tradition est un fil souterrain qui nous certaines époques, les forces à se voir et à reconnaître dans la direction de leur travail un parallélisme de problématique. On construit une tradition autant qu’on la reçoit en héritage car ce que nous voulons être permet de mieux comprendre ce que certains de nos prédécesseurs ont parfois atteint à sa manière ce livre est un hommage à ceux qui, il y a I siècle, franchir avec succès les chemins sur lesquel nous sommes à peine engagés.

Jean-Marie Piemme

  • Taille : 34cm x 25,5cm
  • Sommaire
  • Avant-propos pg9
  • La Monnaie en aperçus pg11
  • Le jeu des voix par José van Dam pg63
  • L’Opéra deux fois séduit par le théâtre par Jean-Marie Piemme pg93
  • Les enjeux musicaux du répertoire par Reinder Pols pg133
  • Sur les lieux de l’illusion par Henri Oechslin pg175
  • La force du chant par Gérard Mortier pg199
  • Annexes pg223
Odyssée théâtrale des jeunes-Chronique d'un voyage initiatique
2009
Lansman
Odyssée théâtrale des jeunes-Chronique d'un voyage initiatique
Auteur : Roger Deldime, Jeanne Pigeon

ISBN : 287282703X

Roger Deldime et Jeanne Pigeon racontent l'évolution de la fantastique épopée du Théâtre La montagne magique créé en 1995 par la Ville de Bruxelles. Composé de photos et d'échos de presse, d'analyses et de réflexions, de témoignages et de statistiques, le récit retrace, année après année, programmations et festivals, animations et ateliers, initiations et formations, colloques et publications.

Ce livre-album rend un magnifique hommage à la fois à la créativité des arts vivants de la scène proposés aux jeunes par les professionnels et à la qualité des ateliers-spectacles d'amateurs bien encadrés.

La montagne magique constitue un projet dont la vitalité lui donne la force d'une utopie en perpétuelle réalisation.

  • Taille : 25cm x 20,5cm
  • Un projet fondateur fort. pg9
  • Désir d’histoires, spirales de sens. pg19
  • Un théâtre citoyen. ph29
  • Permanent travail de fond. pg39
  • Le bal des paroles. pg49
  • Un théâtre plein de vie. pg61
  • Premières semences. pg71
  • Passeurs d’art. pg81
  • Des tréteaux pour l’expression. pg91
  • Puisatier d’imaginaire. pg101
  • La réflexion, source de progrès. pg113
  • Clés d’écoute et de vision. pg125
  • Un théâtre qui émancipe. pg137
  • Hymne aux bâtisseurs. pg151
Le Théâtre en France du Moyen Age à 1789
1988
A. Colin
Le Théâtre en France du Moyen Age à 1789
Auteur : Jacqueline de Jomaron, Collectif

ISBN : 2200371225

La publication d'une histoire du théâtre en France, du Moyen Âge à nos jours, est une « premier ». Qui s'y intéresse devrait jusqu'alors en chercher les morceaux et pas dans les histoires du théâtre mondiale ou dans les multiples ouvrages spécialisés consacré à telle ou telle période.

Cet ouvrage a l’ambition de rendre compte de l’histoire du théâtre en France dans sa continuité et sa complexité, dans ses liens avec l’histoire politique et social de notre pays.

À toutes les époques, le théâtre est un art ou sans gages collectivement auteurs, acteurs, metteurs en scène, spectateurs. Le Théâtre en France aborde le « fait théâtral » dans toutes ses composantes : élaboration des esthétiques et des formes dramaturgiques, modes et lieux de production, relations avec les institutions politiques et religieuses, pratiques et techniques scéniques, représentations, jeu de l’acteur, public.

La conception de cet ouvrage n'est pas celle d’une classique rédaction chronologique et événementielle. Un collectif de 13 spécialiste en études théâtrales, parmi les meilleurs théoriciens praticiens, se sont partagé 23 contributions, chacune constituant un véritable essai original et pouvant être lu comme tel. L'ensemble ne constitue pas moins, grâce a la préparation collective des deux volumes, une véritable histoire du théâtre en France,

cohérente et rigoureuse, aussi complète que possible dans le cadre imparti.

Madame Jacqueline de Jomarron à animer une équipe ainsi composée : Emile Copfermann, Michel Corvin, Bernard Dort, Bernard Faivre, Pierre Frantz, Jacqueline de Jomaron, Henri Lagrave, Daniel Linenberg, Jean-Jacques Roubine, Lean-Pierre Sarrazac, Colette et Jacques Scherer, Anne Uberfeld.

Plus de 400 documents, plans, gravures et tableaux, photographies, extraits d’écrits de chaque époque, prolongent et éclairent le texte.

  • Taille : 25,5cm x 18,5cm
  • Sommaire.
  • Préface, par Ariane Mnouchkine. pg7
  • Note au lecteur, par Jacqueline de Jomaron. pg9
  • La Piété et la Fête (des origines à 1548).
  • Le théâtre de l’église, par Bernard Faivre. pg15
  • L’acteur et le jongleur, par Bernard Faivre. pg33
  • Le théâtre de la grand-place, par Bernard Faivre. pg41
  • Si on essayait le contraire ? (1548 - 1629).
  • Le théâtre Phénix, par Jacques Scherer. pg89
  • La « profession de comédie », par Bernard Fraivre. pg111
  • Métarmophose de l’espace scénique, par Jacques Scherer. pg129
  • L’Oeil du Prince (1629 - 1680).
  • La raison d’Etat, par Jacqueline de Jomaron. pg143
  • Le métier d’auteur dramatique, par Colette et Jacques Scherer. pg185
  • Théâtre et Lumières (1680 - 1789).
  • Privilèges et libertés, par Henru Lagrave. pg237
  • Le drame selon les moralistes et les philosophes, par Jean-Pierre Sarrazac. pg295
  • Fabrique de l’Illusion (XVIIe et XVIIIe siècles.
  • L’illusion et l’éblouissement, par Jean-Jacques Roubine. pg357
  • L’exhibition et l’incarnation, par Jean-Jacques Roubine. pg407
  • Chronologie, bibliographie, index. pg444
Nos Théâtres
1897
Dépôt Général chez Istace. Galerie du Roi. Bruxelles
Nos Théâtres
Auteur : Louis-Philippe Mahre

L’histoire des théâtres, salles, cabarets, cirque à Bruxelles au 19e siècle.

  • Taille : 19,5cm x 13cm
  • Table des matières.
  • Préface de Saint-Geniez. IX
  • A-Propos de Léon Rog. Aperçus historiques. pg3
  • Théâtre de la Monnaie. pg5
  • Théâtre du Parc. pg11
  • Théâtre des Galeries. pg19
  • Théâtre de l’Alcazar. pg22
  • Théâtre de l’Alhambra. pg29
  • Théâtre du Vaudeville. pg35
  • Théâtre Molière. pg39
  • Théâtre Flamand. pg42
  • Cirque Royal. pg45
  • Théâtre du boulevard Jamar. pg52
  • Scala. pg53
  • Pôle Nord. pg54
  • Théâtres disparus. pg55
  • Vaueville de la rue de l’Evêque. pg57
  • Théâtre des Nouveautés. pg58
  • Théâtre des Délassements. pg60T
  • héâtre Lyrique. pg62
  • Nouveautés du Bain Royal. pg63
  • Théâtre de la Renaissance. pg64
  • Eden-Théâtre. pg66
  • Musée du Nord. pg79
  • Théâtre de la Bourse. pg80
  • Cirques disparus. pg82
  • Portraits et Biographies. pg83 ……….
Archéo-Danse, la Danse Contemporaine en FWB
2012
Contredanse
Archéo-Danse, la Danse Contemporaine en FWB
Auteur : Martine Dubois

ISBN : 2930146355

Comment la danse contemporaine s’inscrit-elle dans le paysage culturel de la fédération Wallonie-Bruxelles ? Comment les artistes gère-t-il les questions de production, de financement, de diffusion, de rapport au public ? Cette étude plonge dans le monde obscur des archives pour tenter de brosser un tableau de la création artistique vue sous l’angle de la production. Travail de mémoire qui s’apparente à l’archéologie, mais aussi tentative d’évaluation des politiques culturelles, et recherche de nouveaux moteurs. Car le paysage archéologique et lunaire : les émergences fulgurances les éphémères côtoient les terres arides et les fosses communes. Et la pierre de Rosette de la danse contemporaine reste indéchiffrable pour beaucoup. « Archéo-danse » se veut donc aussi un plaidoyer pour un plan Marshall de la danse. Martine Dubois est professeure et journaliste. Longtemps membre du Conseil de la danse dont elle a assuré la présidence durant quatre ans, elle a collaboré à de nombreux médias. Il enseigne actuellement à la haute école Galilée et dispense des formations à destination des enseignants.

  • Taille : 29cm x 20,5cm
  • Table des matières.
  • Préface. pg7
  • Avant-propos. pg9
  • Introduction. pg11
  • Une utopie chorégraphique. pg12
  • Back to de futures : de Béjart à Ayelen Parolin. pg13
  • Êtes-vous contemporains ? pg17
  • Et la danse contemporaine made in Communauté française ? pg19
  • Un langage Pas si universel. pg25
  • Les Pouvoirs Publics en Communauté française. pg27
  • Méthodologie archéologique. pg31
  • A l’origine… pg33
  • Des frontières. pg35
  • Chapitre I : Paysage avec chorégraphie. pg37
  • D’ici et d’ailleurs. pg39
  • Grand-angle. pg40
  • Genres et hybridations. pg41
  • Cet animal étrange. pg44
  • Chapitre II : La danse entre éphémère et durable. pg47
  • Une offre importante. pg48
  • Une politique de la danse. pg50
  • Des chorégraphes éphémères. pg
  • Chapitre III : Petites et grandes formes. pg55
  • Seul ou en groupe. pg56
  • Création sonore. pg59
  • Court ou long. pg60
  • Combien ça coûte ? pg62
  • Chapitre IV : Production assistée .pg65
  • Dans les arcanes du pouvoir… pg66
  • Coproductions. pg70
  • Entreprises culturelles. pg72
  • Enquête. pg74
  • Chapitre V : Des lieux pour la danse. pg77
  • Quels lieu xpour la création ? pg78
  • Festival, mon amour. pg81
  • Chapitre VI : Ici et ailleurs. pg85
  • Outils de diffusion. pg86
  • Des incitants historiques. pg88
  • Des bureaux de diffusion pour l’avenir. pg88
  • Diffusion : la réalité du terrain. pg89
  • Festival,s festivals. pg92
  • Sur la scène, la danse… pg96
  • Détour par les Centres Culturels. pg100
  • Chapitre VII : Communiquez, communiquons. pg107
  • Programmateur, le nerf de la guerre. pg108
  • Médias et Culture : je t’aime, moi non plus. pg109
  • Public, aurais-tu ? pg109
  • Public, où es-tu ? Et, accessoirement, combien es-tu ? pg110
  • Forméer ou ne pas former ? pg111
  • Médigation des publics. pg111
  • Jeune Public, futur public ? pg111
  • La danse à l’école, une grande absente… pg113
  • Chapitre VIII : La formation en question. pg115
  • Enseignement secondaire artistique. pg116
  • Enseignement s upérieur artistique. pg117
  • Formation continuée. pg119
  • Chapitre IX : Vers l’avenir. pg121
  • Mémoire. pg122
  • L’image de la danse. pg23
  • Soutien à la création. pg123
  • Soutien à la diffusion. pg124
  • Publics. pg125
  • Formation. pg126
  • Annexes. pg129
L'Envers du Décor
2012
Gourcuff Gradenigo
L'Envers du Décor
Auteur : M. Auclair, A. Batifoulier, C. Coutin, P. Girard

ISBN : 9782353401239

Au cours des années 1820 et 1830, en donnant aux décors et à la mise en scène un rôle inédit, le théâtre opère la révolution qui accompagne le développement de nouveaux genres.Le drame à la Comédie-Française, l'opéra historico-romantique et le ballet romantique à l'Opéra sont l'occasion de créer des décorations qui enthousiasment les spectateurs. En témoignent Othello, Hernani, Robert le Diable, La Sylphide, Le Prophète, L'Africaine... Grâce à la machinerie installée dans les cintres et les dessous, aux trucages, à l'éclairage au gaz et bientôt à l'électricité, aux grandes machines préfigurant les peplums, tout est en place pour que le spectacle commence.S'appuyant sur l'intérêt suscité par l'Histoire, tous, librettistes, compositeurs, décorateurs, sans oublier le public, communient dans le rêve de couleur locale ou de vérité historique. On copie, détourne, imagine des édifices anciens. Certains sont gothiques d'autres renaissants et bientôt même rocaille. Comme on revisite le passé, on se tourne vers la Nature et un Orient mythique. Les décorateurs vont créer et avec l'aide de régisseurs - on ne parle pas encore de metteur en scène - des images si fortes qu'elles sont déclinées à l'envi jusqu'à la fin du siècle.Au moment où se constitue le roman national, le théâtre sait en être la caisse de résonnance et les décors, sa version imagée.

  • Taille : 22,5cm x 24,5cm
  • Sommaire.
  • Préface par Delphine Pinasa. pg5
  • Les révolutions scéniques par Catherine Join-Diéterle. pg7
  • Le fonds de maquette du département des arts du spectacle de la Bibliothèque Nationale de France par Cécile Coutin.. pg19
  • Les collections d’exquisses et de maquettes de décors du XIXe siècle de la Bibliothèque-Musée de l’Opéra par Mathias Auclair. 23
  • Les maquettes de décors dans le fond de la Comédie-Française par Agathe Sanjuan. pg27
  • Le cadre et les hommes.
  • L’Opéra et la Comédie-Française au XIXe siècle par Catherine Join-Diéterle. pg33
  • Les décorateurs : des dynasties d’artistes par Catherine Join-Diéterle. pg41
  • Le rôle des machinistes au XIXe siècle parJacqueline Razgonnikoff. pg57
  • De l’invention de la mise en scène à celle du metteur en scène par Noëlle Guibert. pg67
  • Chef machiniste et régisseur de l’Opéra de Paris au XIXe siècle par Mathias Auclair. pg77
  • La technique au service de la mise en scène.
  • Secret de coulisses… par Alain Batifoulier et Simon de Tovar. pg85
  • Trucs et curiosité par Alain Batifoulier et Simon de Tovar. pg99
  • De nouveaux décors.
  • De la couleur locale à la vérité historique, les décors de la première moitié du XIXe siècle par Catherine Join-Diéterle. pg117
  • Cicéri, Gué et Daguerre : la peinture en décor par Olivier Voisin. pg133
  • Décors et répertoires à la Comédie-Française dans la seconde moitié du XIXe siècle par Noëlle Guibert. pg141
  • L’évolution stylistique des décors à l’opéra de Paris de 1863 à 1907 par Pauline Girard. pg157
  • Notices des oeuvres. pg171
  • Bibliographie.
Encyclopédie Diderot et D'Alembert-Tome 19
1965
H. Veyrier
Encyclopédie Diderot et D'Alembert-Tome 19
Auteur : Diderot, D'Alembert

ISBN : 2914649916

Selon Diderot : Le but d'une encyclopédie est de rassembler les connaissances éparses sur la surface de la terre; d'en exposer le système général aux hommes avec qui nous vivons, et de les transmettre aux hommes qui viendront après nous; afin que les travaux des siècles passés n'aient pas été des travaux inutiles pour les siècles qui avenir.

Diderot s'en remet à la postérité pour juger de son uvre: «Cet ouvrage produira sûrement avec le temps une révolution dans les esprits, et j’espère que les tyrans, les oppresseurs, les fanatiques et les intolérants n’y gagneront pas. Nous aurons servi l’humanité.

  • Taille : 37,5cm x 24,5cm
  • Théâtres, contenant trente-huit Planches à cause de sept doubles.Planche IèrePlan et profil du théâtre d’Herculanum
  • Planche Ière
  • Première Table, du rez-de-chaussée au dessous du Théâtre
  • Planche II
  • Seconde Table, des constructions du Théâtre de Turin
  • Planche IIII
  • Troisième Table, du plein-pied et du premier rang des loges
  • Planche IV
  • Quatrième Table, du second rang des loges
  • Planche V
  • Table cinquième, du troisième étage des loges
  • Planche VI
  • Table sixième, du quatrième étage des loges
  • Planche VII
  • Table septième, du cinquième Ordredes loges
  • Planche VIII
  • Table huitième, du Paradis
  • Planche IX
  • Table neuvième, coupe sur toute la longueur du Théâtre de Turin
  • Planche X
  • Table dixième, plan géométrique en travers et la vue du parquet, la couronne
  • Plan, coupe et élévation de la Salle de la Comédie de Lyon, exécutée sur les dessins de M. Souflot, Architecte et Contrôleur des Bâtiments du RoyPlan du Théâtre d’Argentine à Rome
  • Coupe et élévation du Théâtre d’Argentine à RomePlan du Théâtre Tordinone à RomePlan du Théâtre Royal de Saint-Charles, à Naples
  • Plan au rez-de-chaussée de la Salle de Spectacle de la Comédie Française
  • Plan du premier étage de la Salle de Spectacle de la Comédie Française
  • Plan du Théâtre de Parme
  • Plan de la Salle des Machines aux Tuilerie
  • Salles de Montpellier et de Metz
  • Salle de l’Opéra, exécuté sur les dessins de M. Moreau, Architecte du Roy et de la Ville
  • Plan et coupe d’un projet de salle de concert, de la composition de M. Dumont, professeur d’architecture, et membre des Académies de Rome, Florence et BolognePlan du rez-de-chaussée de la Salle de Spectacle, de la composition de M. Dumont, professeur d’architecture, et membre des Académies de Rome, Florence et Bologne
  • Plan et coupe du projet de la restauration de la Salle de Studgard, de la composition de M. de la Guepierre, chevalier de Saint-Michel, architecte de S.A.S. Monseigneur le Prince de Wirtemberg, et correspondant de l’académie royale d’architecture
  • Machines de Théâtre contenant quarante-neuf Planches à cause de quatorze doubles et quatre triples.
  • Dessinées et expliquées par M. Radel, Pensionnaire du Roi, et Architecte-Expert, sous la direction de M. Giraud, Architecte des Menus Plaisirs, et Machiniste de l’Opéra de Paris.Première section.
  • Détail général des Machines du Théâtre de l’Opéra de Paris.
  • Seconde section, contenant vingt-deux Planches doubles équivalentes à quarante-quatre Planches simples.
De la lumière
2000
Ed. Jean Michel Place
De la lumière
Auteur : Collectif

ISBN : 9782858935604

La beauté est comme l’éclair.

Mario Perniola.

l’art occidental a engendré de conceptions différentes de la beauté. La première, que l’on peut qualifier d’esthétique, attachent le bois une expérience de paix, de réconciliation et d’harmonie entre opposés ; la seconde, que j’appellerai stratégiques, envisage la beauté comme un pouvoir, une arme, une force tangible et effective. Cette deuxième conception de la beauté a été théorisée dans le traité hellénistique du sublime de Longin et d’Aguteza de l’écrivain baroque espagnol Balthazar Gracian. Les ouvres de Walter de Maria se rapporta cette même sphère.

De tous les travaux de Walter de Maria, The Lighting Field (le Champs d’éclairs), « sculptures terrestres permanentes » installées dans le désert du nouveau Mexique, se prête tout particulièrement à une interprétation stratégique de la beauté. Quatre cent poteaux d’acier, dont l’extrémité pointue fonctionne comme paratonnerre, se dresse sur un champ de 1 km sur 1 mile. L’importance de cette ouvre ne tient pas pas à sa forme mais à la force avec laquelle il impose une idée unique, simple et très ancienne : la beauté est comme l’éclair. En tant que forme et en tant qu’objet de contemplation désintéressée, l’ouvre s’annule elle-même : elle n’est pas belle en soi et pour soi, elle est la condition de l’avènement de la beauté. Malgré ses dimensions monumentales, The Lighting Field appartient à la poétique de l’art minimal et conceptuel. Ici la beauté n’est pas que considérée comme un attribut de l’ouvre d’art mais comme quelque chose venu de l’extérieur, un événement imprévu, dangereux, qui nous prend par surprise, nous effraie et nous laisse stupéfait. L’art n’est que ce qui permet au bon de se manifester.

Mais pourquoi, entre tous les phénomènes de la nature, est l’éclair qui semble relever spécifiquement d’une conception stratégique de la beauté ? En latin, les trois mots qui désignent l’éclair, fulmen, filgor et fulgus, se réfère aux trois aspects de l’expérience. Le premier, fulmen, signifie armes, flèches : dans la mythologie classique, c’est l’attribut du pouvoir de Jupiter, du mot grec keraunos, l’éclair ( de keraiso, détruire).

Le second mot, fulgor, fait implicitement référence à la splendeur, à la beauté du visible, à la brillance de tout ce qui se présente à nous. Le beau supposition résulta une victoire, par le simple fait de s’être manifesté avec succès, d’être là. Fulgor correspond au mot grec asteropé, mots employés dans l’épopée d’Homère pour désigner l’éclair diffus ; il vient du mot astér, étoile, et de la racine op, voire, l’oeil. Ainsi l’éclair diffus est-il pas eu de l’toile. Enfin le troisième mot,fulgus, exprime la soudaineté, la rapidité flamboyante de l’éclair. Ces deux états renvoient implicitement à la célérité de l’action guerrière et à la splendeur du feu. Le synonyme latin et corruscatio (du grec korruso, armer, exciter, enfler) ; en grec, fulgus correspond à prestér, qui implique la notion de feu et des options. En conclusion, et pour reprendre l’expression des anciens, fulmen frappe, fulgus apparaît, fulgor secoue. L’origine de tout cela est une perception du bon non seulement différente, mais totalement opposé à sa conception esthétique.

(Traduit de l’anglais par Catherine Makarius)

  • Taille : 27cm x 22cm
  • De la lumière.
  • La beauté est comme l’éclair par Mario Perniola. pg3
  • Présentation. pg5
  • Les obscures évidences de la lumière par Olivier Revault d’Allonnes. pg7
  • Fidelio : clarté dans la captivité par Daniel Banda. pg17
  • Les ténèbres comme oubli esthétique par Evgen Bavcar. pg27
  • Vers une esthétique de la lumière ? par Christine Buci-Glucksmann. pg33
  • Les splendeurs de la mimèsis. L’éclair dans la théorie de l’art de la Renaissance par Pascale Dubus. pg39
  • Une blancheur douce, un éclat infus … Note sur la lumière dans l’art du Bernin par Colette Garraud . pg49
  • La part de l’ombre et celle de la lumière. Turner : le dialogue de l’Ondine et de l’Ange (1846) par Pierre Tallemant. pg67
  • T. Théoesthétique de l’obscur par Michaël La Chance. pg75
  • Voile, feu, nuée. Les substrats italiques de la peinture de Marc Rothko par Danièle Gutmann. pg83
  • Retour sur un Fiat Lux. A propos de Shining force (tout George) de Barnett Newman par Michel Makarius. pg95
  • La clarté de Fontana par Giovani Joppolo. pg101
  • Claes Oldenburg, Coosje van Bruggen et les lumières de Las Vegas par Eric Valentin. pg109
  • Je ne sais pas seul à quoi je ressemble par Bill Viola. James Turrell : l’aura paradoxale par Brice Matthieussent. pg125
  • Le Moderne Light Art par Frank Popper. pg137
  • Cent lune au Pays du soleil levant par Florence de Mèredieu pg151
  • Lumière d'encre. Peinture et calligraphie chinoise par Yolaine Escande. pg165
  • Lumière noire par François Aubral. pg183
  • Lumière au cinéma, temps et pensée par Fabrice Revault d’Allonnes. pg187
  • Le goût du noir par Claire Margat. pg191
  • Notice sur les auteurs. pg199
  • Varia.Le complexe d’Orphée. Ce que la lecture de Michel de Certeau me suggère par Danielle Cohen-Levinas. pg205
  • Vu, lu, entendu.Article deux Danielle Cohen-Levinas et d’Isabelle Smadja. pg211
Mon gd ami Shakespeare-Mém. John Lacy
1934
Librairie Plon Ed.
Mon gd ami Shakespeare-Mém. John Lacy
Auteur : Longworth Chambrun

Les hommes déforment volontiers l’histoire pour satisfaire leur passion. Je d’autant plus facile que les thèmes est mal connue. Hors les circonstances et la rareté des documents font que, sur le plus grand des écrivains anglais, nous ne savons presque rien. Les passions ont eu beau jeu. Politique et religions s’en sont mêlées, puis sont venus les querelles d’érudits, de toutes les plus tenaces et les plus âpres. Les questions Shakespeare a fait naître des peines aussi violentes que l’affaire Dreyfus. Nous n’en sommes que plus reconnaissant à Madame de Chambrun d’avoir toujours étudié ces difficiles problèmes avec un respect objectif est fidèle des textes.

Spécialiste des recherches shakespeariennes, et nous avez apporté, depuis sa première étude sur les Sonnets jusqu’à sa récente vie de l’Acteur et du Poète, le fruit de ses découvertes dans les archives anglaises. Cette continuité d’efforts et ses récentes trouvailles lui donnent le droit, plus qu’a personne, de tenter la difficile expérience qu’est ce livre : la reconstitution d’un témoignage.

Dans la première notice biographique consacrée à Shakespeare, notice qui est de John Aubrey et qui fut déposée en 1693 dans une bibliothèque d’Oxford, l’auteur avait noté, sur une feuille volante, son intention de demander de nouveaux renseignements sur Shakespeare un vieux comédien, John Lacy. Aubrey obtint-t-il ce témoignage ? Put-il en tirer parti ? Nous l’ignorons, mais nous savons par l’auteur lui-même que le livre, tel qu’il fut publié plus tard, ne constituait qu’une partie du travail original. Madame de Chambrun à supposer que Lacy, interrogé par Aubrey sur Shakespeare, répond et raconte à sa manière la vie du poète. Tel est le sujet du livre. Hypothèse hardie, mais un peu analogue à celle que ce permis Maurice Barry quantifie raconter la vie de Marie Stuart par ces quatre filles d’honneur. Nous avons dit pourquoi personne n’avait, plus que Madame de Chambrun, le droit de tenter cette aventure romanesque. On a fait avec un grand scrupule, ne prêtant à Shakespeare, à Burleigh, a Southampton et aux autres héros du livre, aucun propos qui n’ait été tenu par eux ou qui ne figure dans un de leurs écrits.

Pour bâtir son roman, Madame de Chambrun a pu se servir des dernières découvertes shakespeariennes, les unes faites par elle-même, les autres par les érudits anglais et par cet recherche américain, Leslie Hotson, qui avait déjà trouvé les lettres inédites échangées entre Shelley et Harried, au moment de leur divorce. Le ressort essentiel du drame et, selon Madame de Chambrun, la persécution des catholiques par la reine Elisabeth, persécution qui fut un effet fort violent et qui s’exerça avec une particulière cruauté à Stratford-on-Avon et dans les campagnes environnantes, peuplé de papistes et de puritains qui refusaient, chacun à sa manière d’adhérer au nouveau culte officiel.

parmi les réfractaires poursuivis, ont trouvé de nombreux membres de la famille Shakespeare, le dénonciateur étend dans presque tous les cas Sir Thomas Lucy, shérif du comté et chtelain des environs de Stratford. On sait que Shakespeare, persécuté par ce personnage, le pénis sous le nom de Mr Justice Shallow, dans les Joyeuses Commères de Windsor. Madame de chambre à trouver de nombreuses preuves de la nature religieuse de cette persécution et Mr Leslie Hotson a découvert à Londres des traces écrites de la suite du conflit entre le poète et le seigneur local. On peut donc dire que l’hypothèse romanesque de Madame de Chambrun doit être assez proche de la vérité historique.

« Mais, sommes-nous tentés de demander, pourquoi Aubrey n’a-t-il rien dit de ses aventures ? » par ce que les textes d’Aubrey, tels que nous les possédons, sont des textes expurgés. Au moment où il les avait rédigés, il n’avait rien à craindre et pouvait écrire toute la vérité, car il n’avait pas l’intention de les publier. Aubrey n’était pas un auteur, mais un curieux, qui aimait à interroger ceux qui avaient connu des hommes célèbrent et notaient les anecdotes comptées par eux, parce que, disait-il, « sans un vieux bavard comme moi, tout cela se serait perdu ». C’est ainsi qu’il nous conservera des traits, petits mais extraordinairement vivant, de Bacon, de Milton, de Raleigh.

En 1667, il confia ses manuscrits à Wood qui en fit grand usage, mais qui, sous la menace d’une perquisition, détruisit une partie de ces textes trop véridiques. Nous ne saurons donc jamais si Aubrey avait pu, ou non, obtenir les témoignages de John Lacy.

Faut-il le regretter ? C’est peut-être un beau symbole que le total anéantissement de la personne terrestre de William Shakespeare. Tout artiste s’efforce de se dissoudre en son oeuvre. La plupart d’entre eux ne réussissent à faire passer dans leurs écrits ou dans leur musique qu’une mince part de même. côté de très sublime de l’homme qui sont devenus ceux de l’oeuvre, subsistent des éléments plus grossiers qui forment le personnage humain d’un Balzac, d’un Stendhal ou d’un Byron. Seuls les patients qui ont pu passer dans l’ouvre sont apaisés et comme effacer. Proust, ayant dit sans snobisme, avait cessé d’être snob, mais il resta Proust jusqu’à la mort, par sans infirmité physique et morale, comme Byron resta Byron.

Seul Shakespeare avait tout dit. Seul il avait été homme et femme, roi et serviteur, chrétiens et juifs, clown et sorcières, poète et médecins, Romain et anglais, Ariel et Calibans. Il avait arraché de lui-même pour les prêter asseyant la jalousie, l’ambition, la haine, l’amour, le désespoir et la folie. Il était devenu esprit et matière, villes et forêts, fantaisie et réalité, et l’on se plaît à penser qu’ayant peint toutes les passions, il s’étaient purifié de toutes et au moment où il renonça au théâtre, il n’y avait plus d’homme Shakespeare. De là peut-être, la merveilleuse transparence de ce fantôme que s’efforce en vain de saisir érudits et biographes. Mais il y eut un Shakespeare avant Shakespeare, et c’est celui-là que Madame de Chambrun à essayer de recréer.

André Maurois

  • Taille : 19cm x 12cm
  • Table des matières.
  • Préface. IPrologue. Lacy prend la plume. pg1
  • Livre premier.
  • La jeunesse à Stratford (1563 - 1585).
  • Chapitre premier.
  • Le maître de Stratford. pg7
  • Chapitre II.
  • Les fêtes de Kenilworth. pg15
  • Chapitre III.
  • Le départ d’un maître d’école. pg28
  • Chapitre IV.
  • Chasse gardée. pg36
  • Chapitre V.
  • Idylle de mai. pg46
  • Chapitre VI.
  • Entre l’amour et l’ambition. pg50
  • Chapitre VII.
  • Au milieu des abeilles. pg61
  • Chapitre VIII.
  • L’affaire Somerville et Arden. pg74
  • Chapitre IX.
  • Le shérif et sa femme. pg81
  • Chapitre X.
  • Les adieux. pg96
  • Livre II.
  • L’épreuve. Londres (1586 - 1592).
  • Chapitre XI.
  • Au théâtre de la Courtine. pg108
  • Chapitre XII.
  • Johannes Factotum. pg116
  • Chapitre XIII.
  • Songe d’une nuit d’été. pg123
  • Chapitre XIV.
  • Vision de barbarie. pg130
  • Chapitre XV.
  • la taverne du sanglier. pg140
  • Chapitre XVI.
  • Les « Sonnets sucrés ». pg149
  • Livre III.
  • Drame d’amour (1592 - 1596).
  • Chapitre WVII.
  • Sur la route d’Oxford. pg159
  • Chapitre XVIII.
  • l’auberge de la Croix d’or. pg164
  • Chapitre XIX.
  • Dans le grenier. pg181
  • Chapitre XX.
  • L’Enclos du Cygne. pg189
  • Chapitre XXI.
  • Joyeuses commères. pg200
  • Livre IV.
  • Drame politique que (1596 - 1601).
  • ChapitreXXII.
  • Complainte. pg213
  • Chapitre XXIII.
  • Ben Johnson de mauvaise humeur. pg221
  • Chapitre XXIV.
  • Sur la scène de l’Etat. pg227
  • Chapitre XXV.
  • La Porte des Traîtres. pg239
  • Chapitre XXVI.
  • Westminster. pg245
  • Chapitre XXVII.
  • Le Phénix et la Tourterelle. pg251
  • Livre V.
  • Nouveaux cieux (1601 - 503).
  • Chapitre XXVIII.
  • Penshurt. pg237
  • Chapitre XXIX.
  • L’Aigle du Nord. pg261
  • Livre VI.
  • La roue tourne (1603 - 1616).
  • Chapitre XXX.
  • L’Eclipse de Cynthia. pg283
  • Chapitre XXXI.
  • l’auberge connue plus tard sous le nom de la couronne. pg291
  • Chapitre XXXII.
  • Le Chant du Cygne. pg296
Encuentro Buens Aires-Seminario
2001
III Fes.Inter. de Buenos Aires
Encuentro Buens Aires-Seminario
Auteur : Jean-Guy Lecat

Analyse des espaces théâtraux de la ville (Buenos Aires)

  • Taille : 20cm x 14cm
  • Teatro General de San Martin. pg37
  • Teatro del Pueblo. pg51
  • Teatro Colon. pg59
  • Teatro de la Ribera. pg70
  • Centro Cultural Recoleta. pg73
10 rv en compagnie de Yannis Kokkos
2005
Actes Sud-Papiers
10 rv en compagnie de Yannis Kokkos
Auteur : Yannis Kokkos, Dany Porché

ISBN : 2742755470

Organisé en dix rendez-vous de deux heures environ, cet ouvrage aborde la pratique du théâtre par la notion d'espace. Il a été conçu comme un parcours proposé par Yannis Kokkos, scénographe et metteur en scène, et concrétisé par une enseignante, Dany Porche, en vue d'un travail avec des lycéens. D'un rendez-vous à l'autre, les élèves apprennent à réinventer la classe, lieu quotidien et non théâtral, en tant qu'espace scénique. Cette recherche progressive passe par divers supports visuels (tableaux, films, bandes dessinées) et d'autres arts (musique, marionnette), principalement autour du thème de la tempête, vue par Shakespeare et par Aimé Césaire.

Après 11 rendez-vous en compagnie de Rabin Renucci, c'est le deuxième titre de la collection "Les ateliers de théâtre" coéditée avec l'Association nationale de recherche et d'action théâtrale (ANRAT).

  • Taille : 20,5cm x 15cm
  • Sommaire.
  • 1. La salle de classe.
  • Chercher la théâtralité dans un lieu banal et non théâtral. pg10
  • 2. Le roman Interprétée de façon mobile un récit réaliste dans un lieu ordinaire. pg16
  • 3. Le cinéma.Raconter en s’inspirant du montage visuel et sonore. pg23
  • Cahier iconographique. pg33
  • 4. La peinture.
  • Traduire l’émotion d es corps dans l’espace. pg49
  • 5. La musique.
  • Aborder le texte de théâtre par un univers musical. pg59
  • 6. Ligne, couleur, volume.
  • S’initier à la scénographie. pg66
  • 7. La bande dessinée.
  • Dégager les lignes de force du texte. pg76
  • 8. De la bande dessinée au jeu dramatique.
  • Créer une forme brève. pg87
  • 9. Le théâtre de marionnettes.
  • Changer d’échelle. pg94
  • 10. La photographie.
  • Métamorphoser l’acteur. pg102