Bibliothèque
L’ATPS met à disposition une bibliothèque technique et créative qui permet à chacun·e de se plonger dans l’histoire des arts et techniques de la scène passées et actuelles. Utilisez la barre de recherche pour trouver les ouvrages répondant à vos critères. Contactez-nous pour consulter les ouvrages à Bruxelles !
Préface par Claude-Salvy.
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« Considérer superficiellement, la Mode, nous disent les auteurs, possède en effet un air de légèreté et de folie. »
Ce caractère superficiel a été dépassé avec bonheur par les auteurs. Nous avons dit qu’elles ont établi entre l’homme et la femme un juste équilibre trop souvent rompu en faveur de la mode féminine. Elles ont également reconstitué un vaste pas de Rama européen de nos costumes. Si Paris y a trouvé sa place prééminente chaque fois que celle-ci était méritée, les noms moins importants évolutions des autres pays d’Europe, en matière de mode et de costumes, ils sont relatés de manière exhaustive. Nous voici sortie de Versailles, source souvent principale des Histoires de la Mode pour entrer dans les nombreuses Cours européennes qui brillèrent du 14e au XXe siècle. Si les manières de s’habiller présenter entre elles de nombreuses des affinités, s’il y a une même époque, le style du vêtement était le même à Paris, Londres, Madrid ou Munich, chacun d’eux avait cependant ses particularités, ce que les auteurs ont parfaitement su faire ressortir : c’est ainsi que le chapitre consacré au pittoresque style rococo est particulièrement bien étudié.
Enfin, la disposition de l’ouvrage en deux importantes parties, d’une part, celle du costume proprement dit et de l’autre celle des accessoires et détails, donne à ces derniers toute leur importance, qu’il s’agisse de coiffure, de cravate, de manches, de ceintures, de sous-vêtements, de parure, de costumes liturgiques, de pantalons masculins, de jupe féminine, de vestes et de mantes, de chaussures et même de vêtements d’enfants. Pour tous, les aspects inconnus ou peu connus nous sont dévoilés.
Allons un peu plus loin pour conclure, car nous voici aujourd’hui devant un phénomène extrêmement curieux, aboutissement de ce long chemin, et ses quatre mille ans que nous venons de parcourir.
Ce qui est aujourd’hui nouveau, ce qui n’a pratiquement jamais existé dans l’histoire de notre costume, c’est le franchissement de la barrière des sexes, l’abolition d’un tabou millénaire, l’identification volontaire du couple.
Hommes et femmes ont, au cours de l’histoire, fait des emprunts fréquentent au costume d’un sexe qui n’était pas le leurre, ils en importaient le même vêtement, mais c’était autant où les uns et les autres étaient vêtus de robes. Ce n’était donc qu’une uniformisation involontaire, sans signification psychologique et/ou d’ailleurs, têtes et coiffure était différente. regarder tableaux et sculptures du Moyen Âge, nous ne saurions nous y tromper.
Garçons et filles arborent aujourd’hui même pantalon, même pull, même ceinturon, mêmes cheveux courts blonds, bravant volontairement l’opinion. Le malaise provoqué par cette décision entre le masculin et le féminin, par cette ambivalence, ce refus de symboles considérés jusqu’ici comme sacré, représente-t-il véritablement un défi lancé un interdit venu du fond des ges ? S’agirait-il de l’annonce d’une nouvelle société, pire d’une nouvelle forme de matriarcat ? S’agirait-il plus simplement d’une tendance consistant à préciser que le couple contemporain marque son égalité totale dans une société nouvelle ?
Peut-être la réponse est-elle moins lourde de sens, que être ne s’agi-il, pour le moment, que de la futilité superficielle d’une mode qui, poursuivant imperturbablement son classique mouvement pendulaire, nous proposera dans ses prochaines versions, des hommes très au masculin et des femmes très au féminin.
La mode laisse toujours planer une certaine incertitude lorsqu’il s’agit de prédire et une grande perplexité lorsqu’il s’agit de conclure.
- Taille : 22,5cm x 16cm
- Sommaire.
- Préface, par Claude SalvY. pg7
- Introduction. pg15
- Quatre mille ans d’histoire de la mode.
- L’Egypte ancienne de l’an 3000 allant de 200 av. J.-C. pg39
- Babyloniens et assyrie ns.pg47
- Crête et Mycènes. pg51
- La Grèce dans l’Antiquité. pg57
- Les Etrusques. pg67
- La romantique. pg75
- Byzance. pg87
- La période des Grandes Invasions. pg95
- L’époque romane. pg101
- La mode à la période gothique. pg113
- La mode de la Bourgogne française, à la fin de l’époque gothique. pg127
- La renaissance. pg139
- La réforme. pg153
- La mode espagnole (1550 - 1618). pg163
- La guerre de Trente Ans (1618 - 1648). pg177
- La mode sous le règne de Louis XIV (1643 - 1715). pg189
- La mode sous la Régence (1715 - 1730). pg199
- Le rococo (1730 - 1789). pg207
- La Révolution française et le Directoire. pg223
- L’empire (1804 - 1815). pg243
- La restauration (18 15 - 1820).pg255
- Le style bourgeois ou Biedermeir et l’époque romantique (1820 - 1840). pg261
- Le début de l’époque victorienne ou nouveau rococo (1840 - 1870). pg271
- Le mélange des styles à la fin du XIXe siècle (1870 - 1890).pg281
- La fin du siècle. pg293
- Le XXe siècle ; innovation et réforme. pg300
- L’entre-deux-guerres (1918 - 1939). pg307
- Les années 50 et 60. pg315
- Répertoire des divers vêtements et accessoires de mode.Les coiffures et leurs accessoires. pg323
- Les barbes. pg353
- Chapeau et autres accessoires. pg361
- Cols et ornements de cols. pg399
- Foulard et cravate. pg413
- Les manches. pg425
- Poignet et manchettes. pg435
- Ceintures et écharpes. pg441
- Sous-vêtements, vêtements d’intérieur et costumes de bain. pg449
- Accessoires de mode. pg469
- Joaillerie. pg489
- Le vêtement masculin. pg501
- Vêtements liturgiques. pg507
- Veste et gilets. pg519Pantalons. pg527
- Costume nationaux de femmes. pg535
- Jupes. pf543
- Manteaux. pg555
- Barre et chaussures. pg573
- Costume d’enfant. pg581
- Techniques, couleurs et étoffes. pg585
- Index des artistes. pg591
- Index. pg593
- Remerciements et crédits photographiques. pg599
ISBN : 9788070082126
This representative catalogue of the Prague Quadrennial 2003 showcases the entire world exhibition of scenography and theatre architecture that year, including its accompanying events. It is organised by sections (national exhibits, theatre architecture, schools of stage design), the descriptions of the exhibited works are accompanied by rich colour photographs, and considerable space is devoted to the programme of the unique interactive ‘Heart of the PQ’ project and the international summer academy in stage design OISTAT SCENOFEST. It also includes an index of names.
- Taille : 27cm x 21cm
- Content.
- Introduction. pg8
- PQ Council. pg14
- Jury. pg15
- PQ Prizes. pg18
- List of Participating Countries and Regiones. pg19
- What actually is stage design - now for the tenth time …, Laroslav Malina. pg20
- National Exhibition - competition section. pg23
- Theatre Architecture - Competitive section. pg209
- Schools of stage design - non-competitive section. pg239
- OISTAT Scenofest. pg274
- The Heart of PQ. pg280
- Accompanying Events. pg325
ISBN : 0030894468
Introduction.
The paths leading to designing in the yheatre are numerous and varied. They may come from within the theatre itself or from outside world. The talents of an actor or director gifted with a sense of theatre and visual ideas can lead him to design just as surely as can the more practiced talents of a visual artist equipped with a natural ability to draw and paint and strong desire to be in the theatre. A student from the latter background standing at the threshold of training for a career in design for the theatre may puzzle over what the future holds. The flush of excitement and sense of involvement of first experiences in the theatre should not obscure the need for an artistic commitent toward a goal wich can lead to creative achievements and personnal fulfillment in the distant future. But, to reach this goal he must first thoroughly understand the complex form of the theatre as an art.
The theatre of today, along with all arts, is experiencing a time of rapid change. In a short interval is literary form, its physical form, and in some case even in the basic idea of theatre itself, its theatrical form have undergone changes. Some are natural developments or esptensions of a theatrical form; somes are self-concious changes for change’s sake; while others, by their obscurity to present-day theatre-goers, await the new audience of the future. All these evolvements in som measure affect the designer and his position in the theatre.
The student designer is perhaps confuced by the action of numerous groups, whose activities vary from do-it-yourself happenings to psychedelic sing-alongs, as to their current claims to this title of theatre. To set the performing arts aside from self-entertrainment and group therapy, it may be wise to clarly in the beginning what is meant by theater, or the theatrical form.
…
- Taille : 26cm x 20,5cm
- Contents.
- Preface to the third edition. v
- Preface to the second edition. vii
- Part 1. The Design Concept.
- 1. Introcuction. pg32.
- . Scene Design and the Theatre. pg283
- . Scene Design as a Visual Art. pg474
- . The Design Idea. pg705
- . Drafting the Design. pg96
- Part 2. Executing the Design.
- 6. Scene Design and Technical Production. pg145
- 7. The Construction of Scenery. pg178
- 8. Color in the Theatre. pg228
- 9. The Painting of Scenery. pg240
- 10. The Handling of Scenery. pg268
- 11. Stage Properties and Effects. pg313
- Part 3. Designing the Lighting.
- 12. Introduction to Stage-Lighting Design. pg343
- 13. Elements of Electricity. pg369
- 14. Color in Light. pg388
- 13. Light Sources. pg400
- 14. Reflection, Refraction and Absorption. pg410
- 17. Stage-Lighting Instruments. pg41
- 18. Light as Scenery. pg440
- 19. Intensity Control. pg466
- 20. Lighting Equipment for Noncommercial Stage. pg486
- 21. Lighting Designs for Typical Proscenium Productions. pg501
- 22. Designint the Lighting for Other Form of Procuction. pg523
- 23. Lighting in the Commercial Theatre. pg543
- Glossary. pg573
- Additional readind on scene design. pg578
- Additional readind on technical production. pg581
- Additional readind on stage lighting. pg583
- Index. pg585
ISBN : 2849751588
Architecture de l’imaginaire voué à révéler le vivant, la scénographie au théâtre et au cinéma génère une poésie des lieux, des matériaux et de la lumière. Habituellement, la scénographie se font dans la représentation. Elle donne à voir, construisant un espace pour le temps d’un regard et d’une écoute.
Cet ouvrage met en exergue l’art discret d’un scénographe actif depuis plus de 40 années (avec Ariane Mnouchkine au Théâtre du Soleil notamment, mais aussi avec Otomar Krejca), dont l’oeuvre, étonnamment diversifiée, est considérable.
Le travail de Guy Claude François se caractérise par un éclectisme qui puise tant dans le champ de l’histoire, de l’architecture, savante et populaire, de l’art et des civilisations, des religions, de la littérature, de l’archéologie, que dans la géographie, la géologie et les cultures du monde moderne ; et, au fil de ses réalisations toutes tendues vers la révélation incarnée sur scène ou sur écran d’une écriture dramatique, lyrique ou filmique, à chaque fois singulière, le langage scénographique révèle un monde poétique incessamment renouvelé, une facture, une vision, un style.
- Taille : 29,5cm x 16,5cm
- Varia.
- Entrer dans l’intimité créatrice d’un scénographe par Blandine Chavanes, Philippe Bataille, Philippe Coutant. pg4
- « Construire pour le temps d’un regard » par Danielle Pauly et Marcel Freydefont. pg8
- Un indiscret de l’esquisse, enquête de l’essentiel par Marcel Freydefont. pg11
- Par-delà le miroir par Danielle Pauly. pg29
- Décors de théâtre, décors de cinéma par Jean-Pierre Berthomé. pg41
- La scénographie est-elle un art ? par Luc Boucris. pg59
- Entretien avec Ariane Mnouchkine par Jean Chollet. pg75
- Entretien avec Guy Claude François par Marcel Freydefont. pg83
- Enseigner la scénographie par Guy Claude François. pg94
- Maquettes commentées par Guy Claude François. pg96
- Biographie par Marcel Freydefont. pg103
- Teâtrographie. pg106
- Filmographie. pg118
- Liste des oeuvres exposées. pg119
- Bibliographie. pg126
- Conception et réalisation de l’exposition et remerciements. pg130
40 ans après sa mort, Georges Pitoeff apparaît comme le plus important metteur en scène de l’entre-deux-guerres par la cohérence de ses conceptions théâtrales, le modernisme de son répertoire, l’unité de sa vision plastique.
Face aux réticences de Copeau et des autres animateurs du Cartel vis-à-vis de théâtre étranger susceptible, par ses innovations, de choquer la « modération du goût français », Pitoeff a, par sa recherche inlassable d’oeuvres contemporaines, donné à son répertoire une dimension véritablement internationale. Son affirmation que l’arsenic est un art absolument indépendant dans le metteur en scène et le maître absolu - affirmation qui l’a conduit à chercher et à exprimer dans toute oeuvre classique « ce que l’esprit contemporain peut y puiser » - est aux origines d’un courant qui n’a fait depuis que se développer.
Le présent ouvrage est le premier à retracer sa carrière à Pétersbourg : 2908 à 1913, ces premières expériences théâtrales, au contact de metteur en scène tel Komissarjevski, Evreïnov, Meyerhold, Taïrov, de décorateurs tels Sapounov, Golovine, de peintres tels Larionov, Malevitch, sont déterminantes pour éclairer la place originale qu’il a tenue ultérieurement en Suisse et en France.
Jacqueline Jomaron étudie - à partir de documents inédits pour une large part, livre de régie, maquettes, photographies, correspondance - plus de 60 mises en scène des auteurs les plus représentatifs du répertoire dePitoeff (Tchekhov, Pirandello, Shaw, IBsen, Shakespeare, Menormand, Claudel, Gorki, O’Neil, etc.). Ce livre témoigne de l’apport culturel considérable qu’a représenté le théâtre de Pitoeff pour le public français ainsi que de la nouveauté des solutions scéniques qu’il a imaginées pour des pièces fort différentes. Il fait revivre le remarquable acteur que fut Pitoeff, interprète passionné de rôle apparemment antithétique. Appuyer sur l’examen exhaustif des maquettes qu’il a laissées, il situe sa véritable place décorateur, seul représentant en France du vaste mouvement européen de rénovation plastique qui, commencé au début du siècle, a trouvé ses formes les plus originales dans les années 20.
80 photographies hors-texte, dont beaucoup sont inédites.
Jacqueline Jomaron, agrégé et docteur ès lettres, a créé l’Institut d’Etudes Théâtrales de Paris-Nanterre qu’elle dirige depuis 1970.
- Taille : 23cm x 15,5cm
- Table des matières.
- Avant-propos. pg9
- I. La sur détermination russe. pg14
- Tiflis : 1884-1902. pg15
- Moscou : 1902-1905. pg17
- Intermède parisien : 1905-1908 . pg21
- Pétersbourg : 1908-1913. pg24
- II. La Compagnie Pitoeff en Suisse et en France.
- Genève : 1915-1922. pg40
- Paris : 1922-1939. pg58
- La Comédie des Champs-lysées : février 1922-mars 1924. pg58
- D’un théâtre à l’ autre : une 1925-1934.pg63
- Le Théâtre des Mathurin : 1934-1939 .pg72
- III. Théorie et pratique.
- « Des idées jetées au hasard … ». pg81
- Un « régisseur idéal » ? pg93
- « Une fortune entière ne me ferait pas jouer dans les décors des autres ». pg102
- Les choix de Pitoeff .pg111
- IV. Tchekhov p.g119
- V. Pirandello. pg136
- VI. Shaw. pg158
- Extraits de lettres de Shaw à Pirandello. pg179
- VII. Ibsen. pg183
- VIII. Les auteurs français contemporains. pg205
- IX. Lenormand. pg227X
- Shakespeare. pg245
- XI. « Autant de mises en scène que des pièces ». pg275
- La Petite Baraque, de Blok. pg276
- La Puissance des ténèbres et le Cadavre vivant, de Tolstoï. pg280
- Dans les bas-fonds, de Gorki. pg284
- Liliiom, de Monar. pg286
- Le Juif du Pape, de Fleg. pg293
- le Singe velu, d’O’Neill. pg298
- En matière de conclusion. pg305
- Annexes.
- I. P Spectacle de Georges Pitoeff. pg313
- II. Auteurs joués par Georges Pitoeff en Russie, en Suisse et en France. pg326
- III. Esquisse et dessins de Georges Pitoeff. pg333
- IV. Correspondance Jacques Copeau/ GeorgesPitoeff. pg336
- Ecrits et interviews de Georges Pitoeff. pg348
- Biographie sélective sur Pitoeff. pg352
- Index des noms cités. pg354
- Index des pièces citées. pg361
- Table des illustrations. pg366
ISBN : 2851815016
L'ouvrage de Norbert Servos est entre-temps devenu la "bible de l'art du Tanztheater". Cette réédition augmentée de toutes les créations des années 2000, décrit et analyse chaque pièce avec de nombreuses illustrations à l'appui et des interviews inédites avec la chorégraphe. Un ouvrage-clé pour comprendre le travail de Pina Bausch et sa troupe, et leur influence majeure sur le théâtre et la danse de notre époque.
- Taille : 21cm x 13,5cm
- Table des matières.
- Le temps des Mythes et le présent. pg9
- L’expérience du corps. pg16
- Le Sacre du Printemps. pg37
- Les Septs Péchés Capitaux. pg45
- Barbe-Bleue. pg54
- Komm, Tanz mit Mir. pg62
- Rnate Wandert Aus. pg68
- Il la prend par la main et l’emmène au château, les autres suivent. pg74
- Café Müller. pg83
- Kontakthof. pg90
- Arien. pg103
- La Légende de la Chasteté. pg111
- 1980 - Une pièce de Pina Bausch. pg119
- Bandonéon. pg128
- Walzer. pg136
- Nelken. pg144
- Dans la montagne on a entendu des hurlements. pg152
- Two Cigarettes in the Dark. pg165
- Viktor. pg176
- Ahnen. pg185
- La Plainte de l’Impératrice. pg191
- Palermo Palermo. pg199
- Tanzabend II. pg207
- La Pièce au Bateau. pg215
- Ein Trauerspiel. pg223
- Danzon. pg232
- Nur Du. pg240
- Le Laveur de Vitres. pg248
- Masurca Fogo. pg257
- O Dido. pg264
- Wiesenland. pg273
- Agua. pg281
- Trois interviews avec Pina Bausch. pg289
- « La danse est le seul vrai langage. » pg291
- « On doit être sensible et très attentif. » pg298
- « Avoir à nouveau envie de prendre la vie à bras le corps. » pg307
- Bibliographie et Index des pièces. pg315
- Remerciements. pg351
- Crédits photographiques. pg352
ISBN : 2801110515
Né à Bruxelles le 30 novembre 1954, Bernard De Coster y a fait des études de scénographie dans la classe de Serge Creuz à La Cambre, et d’art dramatique dans la classe de Claude Etienne au Conservatoire. Il est ensuite devenu régisseurs technique et assistant d’Albert-André Lheureux au théâtre de l’Esprit Frappeur avant d’entreprendre une fulgurante carrière de metteur en scène 1976. Le Challenge théâtra lui a été décerné en 1977 pour l’Orestie, et l’Eve triennale de la mise en scène en 1982 pour Cyrano de Bergerac et Aïda vaincue.
Bernard De Coster a aussi été chargé de cours de Suzanne Philippe, de Claude Etienne et de Pierre Laroche au Conservatoire de Bruxelles.
Il est décédé le 7 mars 1991, non sans avoir dirigé une dernière fois Claude tienne, dans le rôle de J.I. Borges, et répété avec Pietro Pizzuti la version italienne de la Lettre aux Acteurs de Valère Novarina.
Une formation de physiciens jointes un amour illimité des lettres, de la musique et des arts plastiques a conduit Dominique Gafé a développé une technique photographique spécialement adaptée au théâtre, au ballet et à l’opéra. Maurice Huisan, Jacques Huisman, Jean Nergal, Roger Domani et Claude Etienne lui ouvrirent d’emblée les portes de leur théâtre, et Serge Creuz le poussa à exposer. L’art de Bernard De Coster fascina le photographe dès les premières réalisations. Dans l’esthétique de son contemporain - Dominique Gafé est né en 1956 - Bernard De Coster retrouve à celle de ses spectacles. Leur complicité artistique fut bien plus qu’une éphémère coïncidence : une évolution parallèle en établit la pérénnité, du baroque à l’épure, de la fresque à la sculpture. Ce livre en est le fruit.
- Taille : 27,5cm X 29,5cm
- Sommaire :
- Claude Etienne. pg9
- Jacques Huisman. pg11
- Jacques Franck. pg13
- Dominique Gaffé. pg22
- Fernando Arrabal. pg42
- Maurice Béjart. pg46
- Pietro Pizzuti. pg48
- Jacqueline Bir. pg52
- Thierry Bosquet. pg54
- Jacqueline Bir. pg56
- Adrian Brine. pg58
- Serge Creuz. pg62
- Jacqueline Bir. pg64
- Pietro Pizzuti. pg66
- Marcel Delval. pg80
- Claude Etienne. pg82
- Frédéric Devreese. pg85
- Marie-Ange Dutheil. pg86
- Jean-Pierre Finotto. pg88
- René Hainaux. pg92
- Marion Hansel. pg96
- Yves Larec. pg100
- Pierre Laroche. pg104
- Baudouin Mayence. pg108
- Valère Novarina. pg112
- Pietro Pizzuti. pg116
- Philippe van Kessel. pg122
- Bernard Yerlès. pg124
- Martine Renders. pg148
- Parcours. pg151
ISBN : 2852060914
Préface.
La science de « l’éclairage » n’est pas une discipline très ancienne. Mais, en quelques décennies, le progrès de l’éclairage artificiel a, en quelque sorte, entraîner l’affinement des mesures et des connaissances en ce domaine.
Il est précieux que le livre de M. Vandeplanque fasse le point, 980, des derniers développements de nos connaissances en la matière.
L’écart artificiel, qui étend son empire sur des espaces de plus en plus larges, et apporte dans le rythme du temps quotidien des bouleversements inconnus jusque-là, constitue un facteur important, souvent sous-estimé, de la révolution des modes de vie de notre époque. Les médecins, les psychologues, et les sociologues commencent seulement à en prendre la mesure.
Il reste que, quel que soit l’accroissement de nos connaissances, le raffinement et leur précision, le domaine de l’éclairage laisse encore aux chercheurs de vastes champs de plantation.
Traitant, en effet, de la lumière, c’est-à-dire de ce qui permet au monde d’apparaître à l’homme, avec ses formes et ses couleurs, l’éclairagiste à bord d’un aspect de la réalité extrêmement complexes, avec d’ailleurs une sorte des tonnantes superbes, puisqu’ils ne visent à rien moins que de donner à celui qui le possède, la maîtrise de l’apparition du monde aux yeux des hommes.
Or l’apparition du monde n’est pas un effet que l’on peut produire sans mettre en jeu la totalité des rapports qui unissent dès sa naissance l’homme et son mode environnant. J’entends par là que cette apparition ne peut pas être impunément univoque.
Il ne suffit pas de dire : « j’étais à cette route, ce chemin de piétons, ou cette pièce, avec un niveau et des conditions d’éclairement suffisante à fin que le chauffeur, le piéton, où l’habitant puisse se déplacer dans l’espace en toute sécurité ». Cette conception de l’éclairagiste, qualifié de fonctionnel, l’empêchant rien que la matière pour la route est espérée ne donne au monde une coloration et une saveur qui, parallèlement à sa pratique, évoque les fantômes de la nuit, les ombres inquiétantes, la tristesse du grand vide soudain creusé par la fuite indéfinie des réverbères, ou bien au contraire la joie et la gaieté des milieux brillamment éclairés. On ne peut pas dissocier, dans l’éclairage du monde, la création d’un espace rendu praticable par la lumière, de toutes des connotations culturelles ou psychiques qui l’accompagnent pas mieux inévitablement.
Comme toutes les sciences, celle de l’éclairage est d’abord obligée, pour démêler l’écheveau compliqué et embrouillé non pas seulement de la nature, mais ici, inexorablement, de cet être chimérique qu’est « l’homme voyant » dans le monde, allez d’abord en mesure en quantité simple. Il ne faut pas entendre par là que l’éclairagiste néglige la qualité au bénéfice de la quantité. Non ! Il s’efforce, bien au contraire, d’atteindre la qualité par une maîtrise plus affinée des quantités qu’il s’est produit hier : profitant de ce que le monde physique est relativement accessible à la mesure, il vise à établir des correspondances de plus en plus précises entre certaines qualités de l’apparition du monde, tel que sa clarté plus ou moins intense, ces couleurs plus ou moins nuancées, ces formes plus ou moins nettes, à travers les ombres et les lumières qu’il était sin, et certaines valeurs mesurables et mesurées.
…
Jean Balladur
- Taille : 24cm x 15,5cm
- Table des matières.
- Remerciements.
- Préface.
- Première partie : photométrie. pg1
- I. Ombres et lumières. pg2
- II. Grandeur photométrique. pg9
- III. Couleurs des sources. pg19
- Deuxième partie : appareillage p.g25
- IV. Lampes à incandescence. pg27
- V. Lampes à décharge. pg28
- VI. lampe fluorescente. pg39
- VII. Les luminaires. pg55
- Troisième partie : éclairage intérieur. pg67
- VIII. L’avant-projet d’éclairage intérieur. pg69I
- IX. Table d’utilance. pg75
- X. Vérification du projet. pg87
- XI. Exemple. pg101
- Quatrième partie : éclairage extérieur. pg133
- XII. Notion d’éclairage public. pg135
- XIII. Exemple d’implantation. pg145
- XIV. Alimentation des éclairages publics. pg153
- XV. Les installations sportives de plein air. pg159
ISBN : 2869010656
Livre de référence pour les collectionneurs et les spécialistes, cet ouvrage passionnant à tous ceux qui sont fascinés par le charme des automates.
Il est le premier consacré exclusivement aux automates du XIXe siècle, époque à laquelle l’ingéniosité mise au service de l’art a su créer des merveilles. Les collectionneurs d’aujourd’hui qu’il est recherche avec un intérêt toujours grandissant le savent bien.
Après un bref historique sur l’évolution de l’automate depuis les temps anciens, l’auteur étudie son rôle privilégié au XIXe siècle et ses liens étroits avec la vie parisienne. Il retrace ensuite l’évolution des sept grands fabricants de l’époque et de leurs familles depuis la création de leur entreprise au milieu du siècle jusqu’à leur déclin après la première guerre mondiale. Des recherches approfondies dans les archives et dans la presse de l’époque, complétés par les documents personnels des familles des fabricants ont permis de donner avec précision des dates, des adresses, des noms.
Ceux qui sont plus particulièrement passionnés par l’aspect technique de l’automate trouveront leur bonheur dans le chapitre consacré au mouvement musical, aux mécanismes et à la restauration. Enfin, les spécialistes apprécieront les pages de catalogue de l’époque reproduite en fac-similé - publiées pour la première fois - et qui montre une sélection substantielle d’automates.
Plus de 150 aux automates, choisis parmi les collections les plus prestigieux au monde sont ici reproduits en couleurs, grce à l’aimable autorisation de collectionneurs privés qui ont permis ainsi de présenter un ouvrage complet et d’une richesse incomparable.
Christian Bailly
- Taille : 31cm x 24cm
- Table des matières.
- Crédit photo. pg6
- Remerciements. pg7
- Préface. pg9
- I. L’Automate au XIXe siècle : son histoire, sa fabrication . pg11
- II. Les Maîtres de l’automate. pg25
- Théroude. pg27
- Bontems. pg43
- Vichy. pg63
- Roullet et Decamps. pg113
- Phalibois. pg155
- Lambert. pg171
- Renou. pg193
- III. Les secrets de la magie. pg197
- Restauration par Christiane Simon. pg198
- Fonctions et mécanismes par Etienne Blyelle. pg204
- Musique par Etienne Blyelle. pg217
- IV. Catalogue en fac-similé. pg227
- Vichy/Triboulet. pg229
- Roullet et Decamps. pg272
- Lambert. pg335
- Notes. pg352
- Bibliographie. pg357Index des automates. pg358
ISBN : 9727762875
Este roteiro é uma publicação destinada a apresentar e dar a conhecer o Museu Nacional do Teatro, as suas colecções e a grande riqueza dos seus conteúdos dedicados, em exclusivo, à história da actividade das artes do espectáculo em todos os seus múltiplos aspectos, transformando-o numa instituição com características únicas no nosso país.
- Taille : 22cm x 13cm
- ContentsIntroduction. pg5
- Dreaming about Theatre. pg9
- Drops of blood - Or were they sweat ? pg13
- Can Theater be « Museable » ? pg19
- A Museum to long for theater. pg27
- The creation of the Museum. pg31
- The building. pg37
- The Museu Nacional do Teatro. pg45
- Objectives and strategic mission. pg49
- Organisation of collections. pg50
- The Collections. pg53Stage costume designs. pg55
- Stage costumes. pg73
- Set designing. pg83
- Drawings, portraits and caricatures. pg99
- Photography. pg105
- Illustrated postcards. pg113
- Posters, programmes and tickets. pg115
- Painting and sculpture. pg123
- Music. pg127
- Paper Theaters. pg131
- Miscellaneous. pg135
- Library/Documentation center. pg139
- Assets. pg145
- International awards. pg150
- Exhibitions heald at the Museum. pg151
- Publications. pg152
- Catalogues of exhibitions. pg152
- Moographies. pg152
- Leaflets. pg153
- Glossary. pg154
Préface.
Le présent de refus de 1909, sous ce titre : les lettres flamandes d’aujourd’hui.
Ecrivain essentiellement flamand, mais possédant quelque aisance à manier la langue française, j’ai cru, à ce moment-là, faire ouvre utile d’intellectuels « européanisation », en offrant à des lecteurs français se résumé de ce que notre littérature flamande avait produit de plus caractéristiques, depuis la renaissance de 1890. (Je ne donnerai-je pas pour pouvoir écrire un volume semblable en anglais ou en italien, en une langue quelconque, qui puisse assurer à notre culture quelque rayonnement, tout comme je serais heureux d’autre part de faire connaître aux Flamands, ce que les cultures étrangères possèdent de plus universel. Je n’ai jamais manqué de me charger de cette mission, la j’en avais la compétence et/ou sans présenter l’occasion. Il faut que, dans ce pays de Flandre règne, comme ailleurs, une certaine curiosité intellectuelle tout accueillante, qu’on se prendrait volontiers pour tche de tenir constamment en éveil. Et qu’on me permette de rêver candidement de telles « impériale Lise » flamand, qui commencerait une pacifique et gracieuse conquête du monde, auprès de ces esprits cultivés et lettrés, dont elle sollicite s’y traite partout l’amitié. Par contre, nous appliquerions généreusement le principe de la réciprocité…)
Mon opuscule fut rapidement épuisé. J’ai cru trouver dans ce succès un argument pour ma politique. Existe-t-il donc, même dans les milieux où la langue française à la préséance, des curieux pour qui notre petite littérature flamande offre quelques les attraits ?
Plusieurs de mes amis belges, quelques camarades de France, un grand nombre d’étudiants ont bien voulu insister auprès de moi, pour que je leur procure une nouvelle édition de ce livre. Ils ont même prétendu ne pas vouloir ignorer plus longtemps un mouvement littéraire, dont ils avaient ouï dire quelques biens et compris la signification toute particulière, dans les « marches » de Belgique, aux confins de la France, de l’Allemagne et de la Rolande. Leurs instances, joint à celle de mon éditeur, m’ont décidé à me mettre à la besogne.
Mon idée première fut de publier une deuxième édition de cette ancienne brochure, en me bornant à ajouter quelques pages au texte primitif, afin de les mettre à jour. En le relisant, il m’a semblé que bien des choses avaient changé depuis 1909, tant dans la hiérarchie de notre part que dans mes propres opinions. C’est qu’en 15 ans une littérature a le temps d’évoluer. D’autant plus que durant cette période - que la guerre séparant deux sections chronologiques assez divergentes - deux générations nouvelles ont eu l’occasion, l’une de s’affirmer pleinement, l’autre de faire ses débuts. Des écrivains meurent, d’autres naissent. Il y en a qui progresse, et d’autres qui reculent. Des doctrines jeunes se font jour. Une école succède à une autre école.
J’ai donc estimé ne pouvoir me contenter de quelques visages joue et retouche. Tout en conservant le plan général de mon petit ouvrage du début et en lui empruntant quelques pages, là où il est fait, ni mon avis n’avait changé, j’ai en somme recomposé en entier ce livre. C’est pourquoi j’ai donné un titre nouveau présent volume, en priant le lecteur de bien vouloir le considérer comme une oeuvre séparée, qui n’a de commun avec la précédente que l’identité du sujet et une même méthode d’exposer.
Mon étude de 60 pages c’est si bien étendu, au cours de ce travail, qu’elle en compte 200 aujourd’hui.
J’ai conçu mon ouvrage sur le livre d’information autant que de critiques. Non point que je me sois astreint à n’être pas de souci de la documentation. Je n’ai caché ni mes préférences, ni mes vues personnelles. Mais, écrivant principalement pour un public étranger, j’ai voulu écarter de l’oeuvre toute polémique, tout parti pris d’école. J’ai surtout voulu en vue une parfaite impartialité, pour que mon livre fut complet et loyal. Sans abjurer les prérogatives du critique, qui ne saurait être « neutre », je n’ai volontairement négligé personne. J’ai même cherché davantage à dire du bien que du mal. J’ai fait mon accueil à tour les groupements et@toutes les tendances, mais forçant toujours de mettre en lumière la qualité de leur initiative et de leur s directions. Tout en procédant ainsi de la manière la plus purement objective, je ne suis pas parvenu toutefois à trahir mes sympathies, ni à dissimuler mes opinions. Si déjà ici, j’ai usé de tout mon franc-parler, j’entends me réserver, à l’avenir comme par le passé, le droit de critique le plus absolu, à l’égard de tous les écrivains et de tous les programmes, dont j’ai parlé ici en informateur surtout, avec une docile compréhension et une objectivité sympathisante, en évitant le plus possible la controverse.
Janvier 1923.
- Taille : 22cm x 14,5cm
- Table des matières.
- Préface. pg7
- Chapitre I.
- Les Origines.
- - La liquidation du romantisme. pg11
- - Les débuts de « Van Nu en Straks ». pg16
- - Les précurseurs du mouvement moderne. pg18
- - Les exemples étrangers. pg22
- - L’oeuvre des « Jeunes » de 1890. pg24
- « Van Nu en Straks » et les ainés. pg33
- Chapitre II.
- Quelques caractères généraux.
- - Nationalisme et régionalisme. pg40
- - Génie pictural et sens plastique. pg42
- - Le souci de « l’humble vérité ». pg45
- - Influence. pg46
- - Du pessimisme ? pg48
- - Par les populaires et langues savantes. pg49
- - Critiques contre «Van Nu en Straks ». pg52
- Chapitre III.
- Le roman.- L’oeuvre de Stijn Streuvels .pg57
- - L’oeuvre de Cyriel Buysse. pg66
- - L’oeuvre de Herman Teirlinck. pg70
- - L’oeuvre de Karel van de Woestijne. pg76
- - L’oeuvre de d’Auguste Vermeylen. pg80
- - L’oeuvre de d’Emmanuel de Bom. pg85
- - L’oeuvre de Fernand Toussaint. pg86
- - L’oeuvre de Maurits Sabbe. pg89
- - L’oeuvre de Lode Baekelmans. pg94
- - Les romanciers naturalistes. pg100
- - Les romanciers populaires. pg9
- - Le néo-romantisme. pg111
- Chapitre IV.
- La Poésie.
- - L’oeuvre de Prosper van Langendonck. pg115
- - L’oeuvre de Karel van de Woestijne. pg118
- - L’oeuvre de d’Edmond van Offel. pg125
- - Les poètes catholiques. pg126
- - La poésie populaire. pg131
- - Poètes divers. pg135
- Chapitre V.
- Théâtre et critique.Théâtre :
- - Alfred Hegenscheidt et « Starkadd ». pg138
- - la tragédie historique. pg140
- - Le théâtre réaliste. pg141
- - Le thétre bourgeois. pg142
- - Le thétre psychologique. pg143
- - Herman Teirlinck, auteur dramatique. pg144
- - Les Jeunes au théâtre. pg150
- Critique :- Pénurie critique.pg157
- - L’ouvre critique de Vermeylen, Van de Woestijne et autres. pg159
- - Essayistes et historiens de la littérature. pg164
- ChapitreVI.
- La Jeune Génération.
- - La nouvelle génération (1905 - 1914) : Vlaamsche Arbeid et De Boomgaard. pg169
- - le dandysme littéraire et l’eugénisme social. pg174
- - Théorie moderniste. pg178- Les poètes de la guerre. pg182
- - Un romancier de la nouvelle génération : Félix Timmermans. pg185
- - Le «Pallieterisme p ».g190
- - Jeunes romanciers. pg194
- - Jeunes poètes. pg200
- - Les derniers venus. pg203
- - Inquiétude. pg206
- Index alphabétique des noms cités. pg209
ISBN : 2222031060
Avant-propos (extraits).…
Le onzième volume des Voies de la création théâtrale est donc consacré à un seul homme, un seul artiste de théâtre : Tadeusz Kantor. Pourquoi ? Par admiration ? Sans doute, mais voilà une réponse qui n’est guère scientifique, même s’il est bon, en matière artistique, de pouvoir aimer ce qu’on analyse, à condition de savoir s’en distancer pour conserver le regard critique de celui qui tente de découvrir et d’expliquer. …
En quoi réside donc la profonde originalité de Tadeusz Kantor ?
Il n’est pas auteur, même si son dernier spectacle Wielopole-Wielopole ne comporte pas d’auteur préexistant. Il n’est pas metteur en scène au sens traditionnel du terme, même s’il dirige les comédiens, et impulse, car sa fonction est à la fois autre et plus vaste. Il n’est pas comédien, même s’il en a le tempérament et si, depuis La Poule d’eau il est constamment présent sur l’aire de jeu : qu’y fait-il ? … Il est de par ses origines et ses pratiques conjointement artiste plasticien (peintre et plus que cela) et homme de théâtre, sans qu’à aucun moment le théâtre soit pour lui une sphère d’application de la peinture. Ceci dit, tout en restant peintre, le peintre qu’il est se mue en homme de théâtre pour créer l’appel visuel de ses spectacles, démarche garante de leur harmonie.…
Denis Bablet
- Taille : 27,5cm x 22cm
- Table des matières.
- « Petit manifeste » par Tadeusz Kantor. pg7
- Avant-propos par Denis Bablet. pg9
- Remerciements. pg13
- Tadeusz Kator et le Théâtre Cricot 2 par Denis Bablet. pg15
- La Classe Morte.
- Avant-propos par Denis Bablet. pg57
- Le Théâtre de la mort par Tadeusz Kantor. pg59
- « La Classe morte » » (scènes) par Tadeusz Kantor. pg67
- Commentaires par Tadeusz Kantor. pg69
- Avertissements par Tadeusz Kantor. pg71
- Les personnages de « La Classe morte » par Tadeusz Kantor. pg73
- L’action de la pièce de S.-I. Wiekiewicz « Tumeur Cervicale » par Tadeusz Kantor. pg75
- La partition scénique par Tadeusz Kantor. pg79
- Présence de Tadeusz Kantor par Denis Bablet. pg181
- Wielopole-Wielopole.
- « Wielopole-Wielopole » (les séquences) par Tadeusz Kantor. pg195
- Wielopole-Wielopole par Brunella Eruli. pg201
- Annexes. pg273
- Chronologie. pg273
- Brève bibliographie sélective. pg276
- Filmographie. pg278
- Index. pg279
- Crédits photographiques. pg281
« ceci n’est pas un livre sur Tadeusz Kantor, mais un recueil d’écrits. En même temps qu’il peint, qu’il élabore la réalité scénique pour créer ces spectacles, quand on fait le point, accuse et s’explique en une série de témoignages - manifeste, partition de spectacles et de happening, interviews, articles - qui éclaire sa démarche en affirme son originalité. » Denis Bablet
- Taille : 21cm x 13,7cm
- Table des matières
- Avertissements pg7
- Introduction par Denis Bablet
- - «le jeu et ses partenaires » pg9
- Le thétre indépendant (1942 - 1944)1 - Credo pg31
- 2 - Là où le drame se crée pg31
- 3 - Action pg32
- 4 - le rôle émoussant du théâtre pg32
- 5 - Concrétise pg32
- 6 - L’extériorité ou réalisme extérieur pg33
- 7 - Notes en marge des répétitions dur « Retour d’Ulysse » pg33
- 8 - L’illusion et la réalité concrète pg34
- 9 - le jeu des acteurs pg35
- 10 - Déformations de l’action pg36
- 11 - La croissance et le renforcement de l’illusion pg36
- 12 - Illusion et réalité pg36
- 13 - Communications intérieure du spectacle avec la scène pg36
- 14 - Les deux réalités pg37
- 15 - Abstraction, stylisation, naturalisme pg37
- 16 - Les prétendus décors pg38
- 17 - Pathos (remarques en marge du Retour d’Ulysse) pg39
- 18 - Le retour d’Ulysse - I pg39
- 19 - Le retour d’Ulysse - II, 1942 pg40
- 20 - Le retour d’Ulysse - III pg 40
- 21 - résumé pg41
- Le théâtre Cricot 2 Naissance du théâtre Cricot pg45 Partition : la pieuvre de S. I. Witkiewisz pg47
- Le théâtre informel essai : le « théâtre informel » pg55
- Partition : Dans le petit manoirde S. I. Witkiewisz. Extrait pg58
- Complexes Theater Préface-manifeste dans le programme du spectacle Der Schrank (l’Armoire) au Theater der Stadt, Baden-Baden, 1966 pg67
- Les Emballages Emballages manifeste pg69
- Le premier emballage pg73
- L’idée d’emballage
- 1 - Du collage à l’emballage pg74
- 2 - Enveloppe - paquet pg76
- 3 - Idée d’une exposition à la poste pg77
- 4 - Vêtement - emballage pg77
- 5 - Emballage humain pg79
- 6 - De l’emballage à l’idée de voyage pg79
- 7 - Parapluie pg80
- Le Théâtre Zéro vers le zéro pg83
- Manifeste du « Thétre Zéro » pg85
- Partition : Le fou et la none de S.I. Witkiewicz. Extrait pg96
- Description de l’action : le fou et la nonne pg107
- Les essais sur le Théâtre zéro :
- 1 - Le thétre zéro pg113
- 2 - Le non-je u pg116
- 3 - Notes concernant le théâtre zéro pg117
- 4 - Anti activité pg118
- 5 - Jeu en « sourdine » pg119
- 6 - Effacement pg120
- 7 - Absorption de l’expression pg120
- 8 - Végétation. conomie de gestes et d’émotions pg121
- 9 - Automatisme pg121
- 10 - Situations gênantes pg121
- 11 - Réduction à zéro des valeurs de signification et de contenu pg122
- 12 - Elimination par l’usage de la force pg122
- 13 - Le jeu sous la contrainte pg122
- 14 - emballage pg123
- Aux frontières de la peinture et du théâtre Contre la forme (Essais) :
- 1 - Crise de la forme pg125
- 2 - Remarque générale pg125
- 3 - Evolution pg126
- 4 - Objet et images pg127
- 5 - Happening pg129
- 6 - Informelle pg129 anti exposition pg129
- Happening-cricotage (partition) pg133
- Happening : grand emballage (partition) pg139
- La lettre. Happening-cricotage pg149
- « Happening panoramique de la mère (partition) pg153
- Le thétâre-Happening méthode de l’art d’être acteur pg159
- La condition d’acteurs pg162
- Préexistence scéniques pg165
- A propos de la Poule d’eau pg166
- Le Thétre « I » Explication pg171 Les partitions :
- 1 - (…) pg178
- 2 - la chambre pg178
- 3 - Casino pg179
- 4 - Les montagnes pg182
- Du réel à l’invisible Histoire de la chaise pg185
- Manifeste 1970 pg191
- Sur l’oeuvre de Maria Stangret essaie de oui/Brodsky : « L’oeuvre de Maria Stangret, collaboratrice et actrices de Cricotent 2 » pg201
- Théâtre Cricot 2
- La structure et l’ensemble du Théâtre Cricot 2 pg201
- Le Théâtre Impossible(Essais ) pg207
- Le Théâtre de la Mort
- Essai : Le Théâtre de la mort pg215
« L’étude sur Jerzy Grotowski et sans thétre laboratoire que voici se propose de faciliter l’accès à une ouvre insolite qui, bien souvent, au premier abord des routes et fascine à la fois : des clés qui manquent, mais on sent, derrière la porte, une chambre au trésor. Il y a l’obstacle de la langue, bien sr. On le déplore, mais il est visible et on n’en tient compte. Il y a l’obstacle de toute une culture, différente de la nôtre sans qu’on s’en avise assez. Et aussi celui d’une forme thétrale qui s’invente en bafouant notre tradition. D’où les désarrois, des réticences. Si la fascination et la plus forte, on s’enflamme au contraire ; mais là aussi, souvent, dans le malentendu. » Raymonde Temkine
- Taille : 20,5cm x 12cm
- Table des matières
- Note liminaire pg9
- Avant-propos
- - l’entreprise de théâtre en Pologne pg13I
- - Approches
- 1 - Un événement au Thétâre des Nations pg21
- 2 - « Akropolis » à l’épée de bois pg35
- 3 - Une découverte pg39
- II - Etapes1 - Jerzy Grotowski pg53
- 2 - Du théâtre à l’institut pg61
- III - Une conception du théâtre
- 1 - Refus d’éléments parasites pg69
- 2 - Théâtre et littérature pg81
- 3 - Théâtre et philosophie pg93
- 4 - le spectateur du Théâtre-Laboratoire pg107
- IV - L’exercice du métier
- 1 - Les conditions du travail pg121
- 2 - Le couple acteur-metteur en scène pg135
- 3 - Le travail d’acteur pg145
- 4 - De l’authenticité au théâtre pg159
- V - De quelques spectacles
- 1 - Spectacles en chaîne pg165
- 2 - « Akropolis » pg173
- 3 - « La vie tragique du Docteur Faust » pg183
- 4 - « le Prince constant » pg193
- VI - Mises au point
- 1 - Grotowski et Stanislavski pg207
- 2 - Grotowski et Brecht pg215
- 3 - Grotowski et Artaud pg221
- 4 - Grotowski et le Living pg227
- Il n’est pas question de conclure pg233
- Le répertoire du Théâtre-Laboratoire pg237
- Léquipedu Théâtre-Laboratoire pg239
- Bibliographie pg245
« « Chaque fois que j’accepte un dollar de quelqu’un ou que je donne un franc à quelqu’un, je me sers du système guerrier et sanglant que les hommes ont adopté pour leurs échanges, et je lui apporte mon soutien. Nous sommes tous impliqués. Chaque mouvement que je fais est d’un acquiescement d’esclaves, face au système. La seule façon dont je pourrais vivre décemment et honorablement en ce qui touche le système serait de me trouver sous sa domination directe brutale et coercitive. » Cette déclaration de Judith Malina date des premiers mois de l’exil européen du Living. Et l’indication de tout jugement exclusivement esthétique et inadéquat, lorsqu’il s’applique au Living. S’il y a de la beauté, de l’art dans les spectacles du Living, ça ne peut être qu’en plus. Dialoguer, d’abord. Dire. Dire non à la guerre, à toutes les atteintes à la liberté, à toute violence, quelle que soit la bonne cause. » Pierre Biner
- Taille : 20,4cm x 12,2cm
- Table des matières
- Avertissement pg9
- 1 - Du papier à en-tête pg11
- 2 - 6000 dollars, c’est beaucoup trop pg14
- 3 - Changer le langage, d’abord pg20
- 4 - Faust III pg23
- 5 - Miss Stein et Mr. Williams pg28
- 6 - One Hundretch Street pg33
- Un théâtre pour rêver pg35
- 7 - La tache noire pg38
- 8 - Fourteenth Street pg39
- 10 -The Connection pg42
- 11 - Artaud ? C’est tout droit pg47
- 12 - Jeux de hazard pg51
- 13 - Money, money, money pg58
- 14 - The Brig pg61
- 15 - Petit bilan pg71
- 16 - Les journées d’octobre 1963 pg72
- 17 - La loi, fière de sa rigidité pg76
- 18 - Mysteries and Smaller Pieces pg82
- 19 - Les méchants gamins de huit ans pg91
- 20 - De l’analogie pg95
- 21 - Les Bonnes pg103
- 22 - Trois hommes, pas trois jolis garçons pg110
- 23 - les sources lointaines de Frankenstein pg113
- 24 - Frankenstein, premier acte : naissance de la créature pg117
- 25 - Frankenstein, deuxième acte : découverte du monde tel qu’il est pg128
- 26 - Frankenstein, troisième acte : si l’on réussissait la pièce ? pg140
- 27 - La soirée scandale pg140
- 28 - Antigone : de Sophocle à Brecht, de Brecht au Living pg150
- 29 - « Un jour peut-être, nous serons pleinement une communauté anarchiste » pg167
- Documents - Informations pg175
- Production du living thétre à New York pg175
- Film auxquels le Living Thétre a participé pg176
- Principal émissions TV (spectacles) pg182
- Discographie pg183
- Bibliographie sélective pg184
- Tournées européennes pg191
- Table des photographies pg201
ISBN : 2-8251-1278-X
« Ma vie dans l’art a l’intérêt De nous présenter l’évolution de l’armée de l’artiste, de nous donner un compte rendu de ses variantes et de ses errances. Parmi tous les 19 qui marqua son chemin, Stanislavski et le grand mérite de n’en exclure aucun a priori, tant il avait horreur de l’idée toute faite, la stagnation et du contentement de soi. Il croyait à la pluralité des voix de la. »
- Taille : 22,5cm x 15,4cm
- Table des matières
- Avant-propos par Denise Yoccoz pg7
- Introduction par Denise Yoccoz pg9
- Ma vie dans la Enfance artistique (titre de la rédaction)vieille aussi pg17
- Entêtement pg27
- Le cirque pg30
- Le thétre des marionnettes pg38
- L’Opéra italien pg41
- Le jeu pg46
- Notre éducation pg52
- Le théâtre Maly pg57
- Premier début pg64
- Le métier d’acteur dans la vie pg71
- La musique pg77
- L’école dramatique pg87
- Adolescence artistiquele cercle Alexeev - l’Opérette pg101
- Un concurrent pg110
- Le ballet - ma carrière dans l’Opéra - cercle d’amateurs pg117
- Jeunesse artistique
- La société moscovite d’art et de littérature pg133
- Première saison : chirurgie pg136
- Heureux hasard pg144
- La maîtrise de soi - amère destinée pg149
- Deux pas en arrière - l’hôte de Pierre - intrigue et amour pg154
- « Quand vous jouez un méchant, chercher ce qu’il a de bons »
- - les autocrates pg158La composition
- - la fit sans doute
- - un rouble pg162
- Nouvelle méprise
- - ne vit pas comme il te plaît
- - secret de femmes pg166
- Les Meininger pg171
- Apprentissage pg173
- Première expérience de mise en scène dramatique
- - les fruits de l’instruction pg179
- Un succès très personnel
- - Le bourg de Stepantchicovo pg182
- Où je fais connaissance avec Léon Tolstoï pg186
- Un succès auprès du public
- - Uriel Acosta pg192
- Où je me passionne pour mon travail de metteur en scène
- - Le juif polonais pg198
- Mes expériences avec de véritables acteurs pg204
- Othello pg212
- Le château de Turin pg223
- La cloche engloutir pg227
- Une rencontre qui fait date de pg234
- En attendant l’ouverture du Théâtre d’Art de Moscou pg241
- Mise en scène dans la ligne du réalisme historique pg265
- Le fantastique pg271
- Symbolisme et Impressionnisme pg277
- La ligne de l’intuition et du sentiment
- - La Mouette pg280
- Tchekhov vient nous voir
- - Oncle Vania pg288 1900
- - voyage en Crimée pg293
- Les Trois Soeurs pg297
- Premier voyage à Pétersbourg pg302
- Tournée en province pg308
- Savva Morozov et la construction de notre théâtre pg310
- La ligne sociale et politique
- - un ennemi du peuple pg314
- Maxime Gorki - les Petits-bourgeois pg319
- Les Bas-Fonds pg324
- Réalisme en guise d’intuition et de sentiments
- - la puissance des ténèbres pg330
- Réalisme historique en guise d’intuition et de sentiments
- - Jules César pg333
- La Cerisaie pg338
- Le studio de la rue Povarsskaïa pg351
- Premier voyage à l’étranger pg361
- Maturité artistique
- Découverte de vérités depuis longtemps connues pg369
- Le drame de la vie pg381
- Ilya Satz et Léopold Soulerjitski pg386
- Velours noir pg389
- La vie de l’homme pg396
- En visite chez Maeterlinck pg405
- Un mois à la campagne pg405
- Isadora Duncan et Gordon Craig pg412
- Tentative de mise en pratique du « système » pg427
- Le premier studio du Théâtre d’Art pg432
- Les « Soirées au Chaud » et « Chauve-Souris’» pg442
- Un acteur doit savoir parler le spectacle Pouchkine pg449
- La Révolution pg456
- La catastrophe pg461
- Caïn pg464
- Le Studio d’Opéra du Grand Théâtre pg469
- Départ et retour pg478
- Bilan et avenir pg488
- AnnexesAdditifs
- 1 - Othello pg499
- 2 - Ernst Possart pg503
- 3 - Le spectacle de Klimentova-Mouromtseva pg506
- 4 - Réalisme historique en guise d’intuition et de sentiments - Jules César pg508
- 5 - Le réalisme politique social pg510
- 6 - Désaccord avec le décorateur pg511
- VariantesMise en scène dans la ligne du réalisme historique pg514
- La ligne de l’intuition et du sentiment - La Mouette pg516
- Tournée en province pg517
- Savva Morozov et la construction de notre thétre pg517
- La Cerisaie pg519
- Le Studio d’Opéra du Grand Théâtre pg521
- Notes pg524
Nombreux sont ceux qui ont été à la réalisation de ce livre, et nous voulons leur exprimer notre sincère gratitude, en particulier à la maison Strand Electric, qui, très généreusement, nous a fourni la matière de base de cet ouvrage. Nous sommes reconnaissants aussi envers Madame Louis Yudkin qui nous a permis d’utiliser la documentation que son mari, aujourd’hui disparu, avait réuni pour une semblable publication.
…
Nous n’oublions pas que beaucoup d’autres nous ont aidé. A eux aussi nous adressons nos remerciements. Sans l’aide des centres de l’I.I.T., notre travail n’aurait pas été possible
- Taille : 17,2cm x 12,5cm
- Table des matières
- Avant-propos pg7
- Introduction pg11
- Premières parties :
- Sections générales pg18
- Deuxième partie :
- Américain pg135
- Néerlandais pg120
- Anglais ( voir première partie) pg18
- Français pg103
- Allemand pg87
- Italien pg11
- Espagnolpg95
- Suédois pg128
Nombreux sont ceux qui ont été à la réalisation de ce livre, et nous voulons leur exprimer notre sincère gratitude, en particulier à la maison Strand Electric, qui, très généreusement, nous a fourni la matière de base de cet ouvrage. Nous sommes reconnaissants aussi envers Madame Louis Yudkin qui nous a permis d’utiliser la documentation que son mari, aujourd’hui disparu, avait réuni pour une semblable publication.
…
Nous n’oublions pas que beaucoup d’autres nous ont aidé. A eux aussi nous adressons nos remerciements. Sans l’aide des centres de l’I.I.T., notre travail n’aurait pas été possible
- Taille : 17,2cm x 12,5cm
- Table des matières
- Avant-propos pg7
- Introduction pg11
- Premières parties :
- Sections générales pg18
- Deuxième partie :
- Américain pg135
- Néerlandais pg120
- Anglais ( voir première partie) pg18
- Français pg103
- Allemand pg87
- Italien pg11
- Espagnol pg95
- Suédois pg128
Ce livre est un recueil d’articles dispersés pendant près d’un demi-siècle dans des revues spécialisées, si introuvable qu’il a parfois fallu les faire photographier. L’auteur est reconnaissant à Gaston Gallimard, toujours prêt aux initiatives les plus à dire, de lui avoir commenté de les réunir.
- Taille : 20,8cm x 14,3cm
- Table des matières
- Avant-propos pg9I
- - Le Moyen Âge
- Chapitre 1
- - Le Drame Liturgique pg15
- Chapitre 2
- - Le plus ancien document du théâtre liégeois pg32
- Chapitre 3
- - L’évolution de la mise en scène dans le thétre français pg43
- Chapitre 4
- - Le termes de sénologie médiévale : Mansion, Chape d’Hellequin pg60
- Chapitre 5
- - La « Comédie » Latine en France dans la seconde moitié du XIIe siècle pg71
- Chapitre 6
- - La Scène de Pèlerins d’Emmaüs pg106
- Chapitre 7
- - La Scène de l’Aveugle et de son Valet pg126
- Chapitre 8
- - Le Thème de l’Aveugle et du Paralytique pg152
- Chapitre 9
- - Mystères religieux et profane en Avignon à la fin du XIVe siècle pg163
- Chapitre 10
- - Le théâtre à Paris et aux environs au XIVe siècle pg169
- Chapitre 11
- - Le Mystère du Siège d’Orléans pg179
- Chapitre 12
- - Marie-Madeleine dans le théâtre du Moyen-Âge pg204
- Chapitre 13
- - Une grande représentation théâtral à Mons, en 1501 pg231
- Chapitre 14
- - Les Grands Farceurs du XVe siècle pg245
- Chapitre 15
- - Un recueil de Farces inédites du XVe siècle pg261
- - La Renaissance
- Chapitre 16
- - Rabelais et le Théâtre pg271
- Chapitre 17
- - Rabelais et la Légende de Saint-Martin pg327
- Chapitre 18
- - La Cléopâtre captive de Jodelle pg343
- Chapitre 19
- - Clément Marot et le Théâtre pg346
- Chapitre 20
- - Ronsard et le Théâtre pg354
- - Résurrection du Théâtre médiéval
- Chapitre 21
- - Gabrielle d’Annunzio et le Martyre de Saint-Sébastien pg363
- Chapitre 22
- - Le vrai Mystère de Saint-Sébastien pg370
- Chapitre 23
- - La Renaissance du Théâtre breton pg385
- Chapitre 24
- - Expériences Théophiliennes pg425
- Table des planches pg449
« …
c’est prémices posé et ses exemples donnés, il apparaît moins audacieux, moins inexacte, moins irrévérencieux aussi de dire que le théâtre est sorti de l’Eglise, qu’il a balbutié d’abord ses dialogues en latin, langue du rituel, souligné par les gestes prescrits, au pied des autels, pour se ensuite dans la nef, pour envahir enfin la place publique, les arènes, les salles aménagées pour le contenir ; que les premiers acteurs ont été des prêtres, les seconds, des amateurs, noble, bourgeois, clair et artisans, les troisièmes, au XVIe siècle seulement, des professionnels; que les six sectateurs ont été d’abord des fidèles, ensuite des croyants curieux, ensuite des gens ne cherchant plus que l’émotion ou le plaisir au lieu de l’édification. Rien de plus curieux que de suivre dans les textes comme dans la sénologie, chez les auteurs comme chez les interprètes et les auditeurs, l’invasion il l’efflorescence croissante de l’élément laïque ou profane, voire du comique dans le thétre religieux.
… »
- Taille : 22,6cm x 14,3cm
- Table des matières
- Premières parties
- Le théâtre religieux
- Introduction pg3
- Chapitre premier.
- - Le drame liturgique pg71
- - Le cycle de parc pg72
- - Le cycle de Noël pg103
- - Autre drame liturgique pg 124
- - La mise en scène simultanée pg1125
- - Apparition de la langue vulgaire : le Sponsus pg146
- - Conclusions pg15
- Chapitre II
- - Le drame semi-liturgique (XIIe siècle)1
- - Introduction pg172
- - Le jeu de la résurrection pg183
- - La Trilogie du Jeu d’Adam pg194
- - Nativité liégeoise pg24
- Chapitre 3
- - Jeux et Miracle du XIIIe siècle pg28
- - Introduction pg281
- - Le Jeu de Saint-Nicolas de Jean Bodel pg282
- - Le Miracle de Théophile de Rutebeuf pg30
- Chapitre 4
- - Mystères et Miracle du XIVe siècle pg341
- - Introduction pg342
- - Miracle de Notre-Dame pg353
- - La passion du Palatinust pg37
- Chapitre 5
- - Les grands Mystères du XVe siècle pg391
- - Introduction pg392
- - La passion d’Eustache Marcadé pg403
- - La passion d’Arnoul Greban pg424
- - La passion de Jean Michel pg555
- - La mise en scène pg596
- - Conclusion pg637
- - Bibliographie du thétre religieux pg65
- Deuxième partie
- Le thétre profane
- Chapitre premier
- - Introduction pg691
- - De pg692 - survivance classique pg733
- - Minime et jongleurs pg74
- Chapitre 2
- - Le XIIIe siècle pg751
- - Arras, berceau du thétre comique pg752
- - Notre premier auteur comique :
- - Adam le bossu dit que la Hale pg77A
- - Sa vie pg77B
- - le jeu de la Feuillée pg79C
- - Le jeu de Robin et Marion pg903
- - la première farce : - Le Garçon et l’Aveugle pg974
- - Le premier monologue comique :
- - Le Dit de l’herberie de Rutebeuf pg995
- - Conclusion pg100
- Chapitre 3
- - Le XIVe siècle pg1021
- - Moralité liégeoise pg1022
- - Eustache Deschamps pg1023
- - Les miracles de Notre-Dame pg1034
- - L’histoire de Grisélidis pg1045
- - Conclusions pg105
- Chapitre 4
- - Le XVe siècle pg1071
- - Troupes et représentations pg1072
- - Les différents genres pg1093
- - Pièces et recueils pg1114
- - De latine pg1125
- - Mystères sujet profane pg1126
- - Le monologue dramatique pg1137
- - La Moralité pg1178
- - La Sottie pg1209
- - La Farce pg12210
- - La première comédie :
- - L’avocat Pathelin pg12511
- - Formation des troupes professionnelles pg140
- Chapitre 5
- - le XVIe siècle pg1461
- - Mère Sotte :
- Pierre Gringoire pg1462
- - Autre acteurs pg1493
- - La Condamnation de Banquet pg1504
- - Conclusions.
- Renouvellement et continuité pg1515
- - Bibliographie du thétre profane pg153
- Table des planches pg155
Préface de Georges Randax, Professeur d’Art dramatique au Conservatoire Royal de Liège
- Taille : 19cm x 12cm
- Table des matières
- Index pg5
- Avant-propos pg7
- Introduction pg9
- La boîte à maquillage pg11
- Liste d’articles pour la boîte de maquillage d’un jeune premier pg12
- Pour un comédien chargé de composition pg12
- Bâton ou tube pg14
- Avant de vous maquiller pg14
- Maquillage simple pg14
- Mea-Culpa pg17
- Différente compositions pg18
- Vieux beau distingué pg19
- Vieux beau ridicule pg23
- Vieux beau comique pg23
- Vieux bot antipathique pg24
- Tête comiques pg24
- Sourcils pg26
- Pâtes à nez pg27
- Dents pg 27
- Pochard invétéré pg28
- Postiches pg28
- Travail du crêpé pg29
- Des cheveux, de la perruque et du front pg30
- Les lèvres pg32
- Différentes combinaisons de maquillage pg34
- Maître d’hôtel pg35
- Campagnard et Marins pg35
- Le nez pg38
- Plaies et cicatrices pg39
- Transpiration pg39
- Statues pg40
- Les militaires pg40
- Les écclésiastiques pg41
- Pour vous engager à en savoir davantage pg42
Chapitre premier.
Le Moyen Âge (Extrait).
En Italie, comme dans le reste de l’Europe, la ruine politique de l’empire romaine entraîna une rupture dans la tradition de l’art dramatique. Cette rupture était d’ailleurs amorcée, dès avant les grandes invasions, par l’incontestable décadence du théâtre dans l’Empire. Les Romains des premiers siècles après J.-C. avaient eux-mêmes rompus avec la tradition issue la dramaturgie grecque, qui avait été plus ou moins latinisée au cours des deux siècles antérieurs à Jésus-Christ. Aucune rénovation ne s’annonçait depuis le premier siècle après J.-C. L’art dramatique n’était pas seulement sclérosé, comme pourrait l’être la tragédie dans l’Europe du XVIIIe siècle ; il était vraiment mort quant à notre politique nouveau, issus des grandes invasions, vint s’établir peu à peu en Italie comme ailleurs en Europe. Je ne
les causes de cette décadence, puis de cette disparition du théâtre dans l’Empire Romain sont multiples. Je réside sans doute moins dans la carence de l’imagination et du talent dramatique chez les individus portés par nature à écrire, que dans l’absence d’un public homogène, condition première de la vie du théâtre. Cette condition se trouvait à nouveau remplie lorsque les cadres de la vie religieuse chrétienne se furent installés et organiser, et que, sur le plan religieux au moins, une communauté psychologique et culturelle se fut établie, indépendante des divisions la hiérarchie sociale.
En Italie, comme dans les autres pays d’Europe, et spécialement en France, cédant le sein de l’Eglise que le théâtre a pu renaître ; et cela n’ont pas, comme on le dit trop souvent, par ce que le sentiment religieux, le sens du mystère, sont liées à l’essence même de la création dramatique originelle, mais parce que la religion était alors seule apte à constituer, dans des groupes humains plus ou moins étendus, une homogénéité de conceptions propres à former un public. En fait, seules les cérémonies religieuses groupaient un public permanent. Ce sont les incidences sociales du culte qui ont fait naître le théâre de l’Eglise, et non l’essence du sentiment religieux.
…
- Taille : 17.5cm x 11.5cm
- Table des matières
- Chapitre premier.
- - Le Moyen Âge pg5
- Chapitre II.
- - Du XVe au XVIIe siècle pg 15
- - 1. Le théâtre comique, 15.
- - 2. La commedia dell’arte, 29.
- - 3. Le théâtre humaniste et scolaire, 33.
- - 4. La tragédie, 37.
- - 5. La pastorale, 42.
- Chapitre III.
- Le XVIIIe siècle pg45
- - 1. le mélodrame et Métastase, 45.
- - 2. Goldoni et Gozzi, 47.
- - 3. La tragédie, 52.
- Chapitre IV.
- Le XIXe siècle pg58
- - 1. Prêromantisme et romantisme, 58.
- - 2. De Manzoni à Giacometti, 65.
- - 3. le Vérisme, 71.
- - 4. La recherche d’un thétre national, 75.
- - 5. Le théâtre dialectal, 88.
- Chapitre V.
- Le XXe siècle pg96
- Quelques termes du thétre italien pg117
- Bibliographie sommaire pg121
- Index des noms d’auteur dramatique pg123
Ce livre n’est pas un docte traité musicologique ni une thèse d’histoire du théâtre laborieusement préparée.
Ce sont tout simplement les résultats des recherches ainsi que des réflexions d’un homme de théâtre qui, la tête dans ses mains et les coudes appuyés sur une barrière imaginaire, derrière laquelle se trouve un orchestre également imaginaire, laisse chanter en lui, par exemple … leur fait de Gluck et, les yeux fixés sur la scène - imaginaire comme le reste - pense à ce qu’on pourrait y faire des sons qu’il entend dans le « théâtre de l’âme » (Wyspianski), réfléchit au drame musical … à l’Opéra … au théâtre d’Opéra.
- Taille : 22cm x 14cm
- Table des matières
- Avertissements pg11
- Premières parties pg13
- Prises de position.
- - Quelques opinions sur l’opéra : la Bruyère, Boileau, Saint-Evremont, Voltaire, Lessing, Schopenhauer, Goethe, Schiller, Hoffmann, Théophile Gautier, Tolstoï.
- - l’opéra et conventionnel !
- - Le plus ancien théâtre du monde. La parole chantée et la musique expressive.
- - Sources de l’opéra.
- - Elément théâtral dans la musique.
- - Comédie harmonique de Vecci.
- - Le drame lyrique florentin.
- - Cercle Bardi.
- - Euridice de Jacopo Perry.
- - Monteverdi.
- - Stilo rappresentativo. L’opéra en France.
- - Ronsard et Baïf.
- - Ballet comique de la Reine. Lully.
- - Rameau. La musique dramatique en Italie après Monteverdi.
- - Francesco Cavalier.
- - L’opéra bouffe.
- - La guerre des bouffons.
- - Jean-Jacques Rousseau et sont de 20 du village.
- - Grimm et Diderot. L’opéra-comique français.
- - Le théâtre de la foire.
- - Le Sage.
- - Grétry et ses théories. Gluck.-
- Mozart.
- - Beethoven.
- - Weber. L’opéra italien au XIXe siècle : Rossini, Doizetti, Bellini. Le » grand opéra »
- - Meyerbeer. Wagner. Debussy. Ferruccio Busoni.
- - Paul Hindemith.
- - Albane Berg.
- - Igor Stravinsky.
- - Arthur Honegger. L’opéra et la danse.
- - Définition du livret d’opéra : Goethe, Hoffmann, Ibsen, Debussy, Schegel, Musset.
- - Le vérisme, une erreur esthétique.
- - L’irrationnel dans l’opéra.
- - Les airs.
- - Le rôle de l’orchestre.
- - L’opéra, évocation sonore du drame.
- - Oedipus-Rex de Stravinsky.
- - l’élargissement du champ visuel du drame musical. Deuxième partie pg81
- Réalisation scénique.
- - Une procession à Bruxelles en 1549.
- - Deus ex machina, une survivance du thétre antique.
- - Eurydice de Peri en 1600.
- - Représentation dans les églises.
- - L’enfer et les flammes.
- - Conseil de Sabatini.
- - Décors et perspectives.
- - Changement à vue.
- - Le luxe de la mise en scène.
- - Bâtiments géants.
- - Le jeu des chanteurs, la manière de chanter.
- - Conseil des théoriciens de l’époque.
- - Rome.
- - Florence.
- - La manière de grouper les solistes et les choeurs. L’opéra italien au XVIIIe siècle.
- - Sa décadence du au chanteur.
- - L’art des castrats.
- - Les opinions des voyageurs français.
- - Farinelli.
- - Bel canto.
- - le satyre de Bennetto Marcello.
- - Le public d’opéra : opinion de Burney, de Mozart et de Stendhal.
- - Les décors et les costumes.
- - Nouvelle trouvaille dans le domaine de la perspective.
- - Ferdinando Galli-Bibiena.
- - Place d’honneur pour les prime donne. l’éclairage : le témoignage de Goethe.
- - la gesticulation des castrats.
- - Le balai dans l’opéra. L’opéra en France au XVIIe siècle.- Orfeo de Luigi Rossi.
- - Relation du Père Ménestrier et de Théophraste Renaudot.
- - Machiniste et décorateur italien la cour de France.
- - La Fontaine sur la machinerie.
- - Bérain et ses successeurs.
- - La troupe de Lully.
- - La Champmeslé;
- - Racine et la déclamation tragique.
- - Lully éducateurs des chanteurs.
- - Le jeu des acteurs. L’opéra en France au XVIIIe siècle.
- - Rameau.
- - Sa troupe.
- - Témoignage de Collé, de Grimm et du vaudevillliste Panard.
- - les théories naturalistes des Encyclopédistes.
- - Les décors et les costumes.
- - Le jeu des acteurs. Opinion de Mademoiselle Clairon et de Rousseau.
- - La salle des spectacles du Palais-Royal.
- - François Boucher.
- - Servandoni.
- - Le ballet à l’opéra.
- - Les danseurs masqués.
- - Les cours.- Le chef d’orchestre.
- - Les tueries de Jean-Georges Noverre.
- - la réforme du costume. Gluck à Vienne et à Paris.
- - Gluck metteur en scène.
- - Les acteurs de son temps.
- - L’orchestre.
- - Une opinion de Sébastien Mercier. Mozart dramaturge et metteur en scène. L’opéra au XIXe siècle.
- - La mise en scène de La Juive à l’Académie Royale de musique.
- - Essai de reconstitution historique.
- - Cicéri, Desplechin et Cambon.
- - L’invasion de la cavalerie à l’opéra.
- - Le docteur Véron, « Alexandre de la mise en scène ».
- - Les trappes et les machines.
- - L’éclairage.
- - L’introduction du gaz et de l’électricité.
- - Le témoignage de Chopin.
- - L’attitude des grands esprits romantiques envers le décor.
- - Les scénarios notés.
- - Le style de l’interprétation.-
- Une opinion de Musset.
- - La Malibran.
- - Les cours.
- - Le ballet de l’opéra. Le théâtre-Italien de Paris.
- - Castil-Blaze et ses opinions sur l’art du chant.
- - Rubini.
- - Les décors et les costumes. Une définition de Théophile Gautier.
- - Othello joué par une femme.
- - Peut-elle au visage blanc.
- - Adelina Patti. Wagner.
- - Le théâtre grammaticalement : Goethe, Klingemann, Immermann, Tieck, Les Meiningen.
- - Divergence entre le monde politique et idéaliste des drames de Wagner et son esprit réaliste de metteur en scène.
- - Les conseils de Wagner concernant l’interprétation vocale de ses ouvres.
- - Le chanteur comédien. Le mauvais enseignement tiré des réalisations wagnériennes.
- - Le naturalisme chaotique et descriptif des réalisations du début de notre siècle.
- - La réaction qui se produit après la guerre 1914-1918.
- - Les « lois du genre ». Troisième partie pg178
- La synthèse des arts dans l’opéra.
- - Le théâtre grec.
- - Les conventions.
- - Shakespeare sur la convention théâtre.
- - Molière.
- - Goethe.
- - Gordon Craig.
- - Wyspianski. la composition d’une ouvre d’art.
- - L’élimination de l’accidentel.
- - L’accidentel et le comédien.
- - La surmarionnette de Gordon Craig. le Paradoxe du comédien. Le rythme.
- - La musique, créatrice de geste.
- - Deux aspects de la musique dramatique : moteurs et émotifs.
- - Les liens entre la musique et le geste.
- - Jacques-Dalcroze et ses théories.
- - L’espace scénique fonction de la musique.
- - Adolphe Appia. La Synesthésie : les rapports entre les sons et les couleurs.
- - Grétry, Goethe, Baudelaire, Rimbaud, René Ghil, Théophile Gautier, Gustav Mahler, Antoine Bourdelle.
- - L’élimination du naturelle de l’opéra. les chefs d’orchestre et le metteur en scène.
- - Mahler et Toscanini.
- - l’acteur lyrique moderne.
- - Les « méthodes » d’éducation appliquée jusqu’ici.
- - Les méthodes à appliquer dans l’avenir.
- - Chaliapine.
- - L’éducation vocale et corporelle d’un acteur lyrique moderne. Résumé des conclusions. Bibliographie pg245
- Index des noms cités pg253
ISBN : 2825100498
Les créateurs d’aujourd’hui - metteur en scène, acteur, décorateur, auteur - passent facilement de la scène à l’écran ou vice versa, à la recherche d’autres modes de création et de narration, de techniques et de contacts différents, voire de remise en cause. Un retour aux racines de ce siècle finissant découvre les premières manifestations de ces étroites relations, permet d’analyser leur fonctionnement.
- Taille : 16cm x 23cm
- Table des matières
- Volume 2
- Polyvalence des avant-gardes :
- Relâche, un spectacle phare, par Sally Jane Norman pg9
- Ni théâtre ni cinéma :
- Les jeux de lumières colorées au Bauhaus, par Didier Plassard pg25
- Aelita de Protazanov :
- Du décor de théâtre au décor de cinéma, par Christine Hamon pg39
- Théâtre et cinéma dans l’oeuvre de Luis Bunuel d’Hamlet à l’Age d’or, par Duarte Mimoso-Ruiz pg52
- Mythe d’une époque au thétre et au cinéma :
- Masse en action, action sur les masses, par Claudine Amiard-Chevrel pg75
- A partir de Metropolis de Fritz Lang :
- Le gesalt de masse et ses espaces, par André Combes pg178
- Tableau chronologique pg225
Notre connaissance et notre conception du théâtre, qui doivent trop à la lecture, souffre d’un manque de références au spectacle. D’où une tendance pour rapporter l’histoire à celle de la littérature, non en méconnaître le génie particulier. Homme de thétre et historien, Vito Pandolfi ne pouvait se satisfaire d’une vision aussi restreinte. Si la synthèse qu’il construit et aussi ample, aussi cohérente et, pour tout dire, aussi passionnante, c’est qu’à ses yeux le « drame » et, au-delà du texte et des représentations, un événement collectif. L’analyse exhaustive des oeuvres, l’étude archéologique philologique des vestiges de spectacles anciens concourent ici dégager les éléments d’une dynamique historique exprimant les tendances profondes du corps social. Bref, le thétre est rendu à sa totalité : manifestations et reflet de la vie des peuples.
- Taille : 18cm x 11.3cm
- Volume 1 :
- Origine du spectacle
- Théâtre antique
- Comédie médiévale et Renaissance
- Volume 2 :
- Commedia dell’Arte
- Théâtre religieux, classicisme / Théâtre Kabuki
- Volume 3 :
- Théâtre anglais
- Romantisme
- Science de la mise en scène
- Volume 4 :
- Vaudeville
- Théâtre social
- Régionalisme et universalisme
- Volume 5 :
- Symbolisme
- Avant-gardeThéâtre et histoire
Notre connaissance et notre conception du théâtre, qui doivent trop à la lecture, souffre d’un manque de références au spectacle. D’où une tendance pour rapporter l’histoire à celle de la littérature, non en méconnaître le génie particulier. Homme de thétre et historien, Vito Pandolfi ne pouvait se satisfaire d’une vision aussi restreinte. Si la synthèse qu’il construit et aussi ample, aussi cohérente et, pour tout dire, aussi passionnante, c’est qu’à ses yeux le « drame » et, au-delà du texte et des représentations, un événement collectif. L’analyse exhaustive des ouvres, l’étude archéologique philologique des vestiges de spectacles anciens concourent ici dégager les éléments d’une dynamique historique exprimant les tendances profondes du corps social. Bref, le thétre est rendu à sa totalité : manifestations et reflet de la vie des peuples.
- Taille : 18cm x 11.3cm
- Volume 1 :
- Origine du spectacle
- Théâtre antique
- Comédie médiévale et Renaissance
- Volume 2 :
- Commedia dell’Arte
- Théâtre religieux, classicisme / Théâtre Kabuki
- Volume 3 :
- Théâtre anglais
- Romantisme
- Science de la mise en scène
- Volume 4 :
- Vaudeville
- Théâtre social
- Régionalisme et universalisme
- Volume 5 :
- Symbolisme
- Avant-garde
- Théâtre et histoire
Notre connaissance et notre conception du théâtre, qui doivent trop à la lecture, souffre d’un manque de références au spectacle. D’où une tendance pour rapporter l’histoire à celle de la littérature, non en méconnaître le génie particulier. Homme de thétre et historien, Vito Pandolfi ne pouvait se satisfaire d’une vision aussi restreinte. Si la synthèse qu’il construit et aussi ample, aussi cohérente et, pour tout dire, aussi passionnante, c’est qu’à ses yeux le « drame » et, au-delà du texte et des représentations, un événement collectif. L’analyse exhaustive des ouvres, l’étude archéologique philologique des vestiges de spectacles anciens concourent ici dégager les éléments d’une dynamique historique exprimant les tendances profondes du corps social. Bref, le thétre est rendu à sa totalité : manifestations et reflet de la vie des peuples.
- Taille : 18cm x 11.3cm
- Volume 1 :
- Origine du spectacle
- Théâtre antique
- Comédie médiévale et Renaissance
- Volume 2 :
- Commedia dell’Arte
- Théâtre religieux, classicisme / Théâtre Kabuki
- Volume 3 :T
- héâtre anglais
- Romantisme
- Science de la mise en scène
- Volume 4 :
- Vaudeville
- Théâtre social
- Régionalisme et universalisme
- Volume 5 :
- Symbolisme
- Avant-garde
- Théâtre et histoire
Notre connaissance et notre conception du théâtre, qui doivent trop à la lecture, souffre d’un manque de références au spectacle. D’où une tendance pour rapporter l’histoire à celle de la littérature, non en méconnaître le génie particulier. Homme de thétre et historien, Vito Pandolfi ne pouvait se satisfaire d’une vision aussi restreinte. Si la synthèse qu’il construit et aussi ample, aussi cohérente et, pour tout dire, aussi passionnante, c’est qu’à ses yeux le « drame » et, au-delà du texte et des représentations, un événement collectif. L’analyse exhaustive des ouvres, l’étude archéologique philologique des vestiges de spectacles anciens concourent ici dégager les éléments d’une dynamique historique exprimant les tendances profondes du corps social. Bref, le thétre est rendu à sa totalité : manifestations et reflet de la vie des peuples.
- Taille : 18cm x 11.3cm
- Volume 1 :Origine du spectacleThéâtre antiqueComédie médiévale et RenaissanceVolume 2 :Commedia dell’ArteThéâtre religieuxclassicisme / Théâtre KabukiVolume 3 :Théâtre anglaisRomantismeScience de la mise en scèneVolume 4 :VaudevilleThéâtre socialRégionalisme et universalismeVolume 5 :SymbolismeAvant-gardeThéâtre et histoire
Origine du spectacle, théâtre antique, comédie médiévale et renaissance.
Notre connaissance et notre conception du théâtre, qui doivent trop à la lecture, souffre d’un manque de références au spectacle. D’où une tendance pour rapporter l’histoire à celle de la littérature, non en méconnaître le génie particulier. Homme de thétre et historien, Vito Pandolfi ne pouvait se satisfaire d’une vision aussi restreinte. Si la synthèse qu’il construit et aussi ample, aussi cohérente et, pour tout dire, aussi passionnante, c’est qu’à ses yeux le « drame » et, au-delà du texte et des représentations, un événement collectif. L’analyse exhaustive des ouvres, l’étude archéologique philologique des vestiges de spectacles anciens concourent ici dégager les éléments d’une dynamique historique exprimant les tendances profondes du corps social. Bref, le thétre est rendu à sa totalité : manifestations et reflet de la vie des peuples.
- Taille : 18cm x 11.3cm
- Volume 1 :Origine du spectacleThéâtre antiqueComédie médiévale et RenaissanceVolume 2 :Commedia dell’ArteThéâtre religieuxclassicisme / Théâtre KabukiVolume 3 :Théâtre anglaisRomantismeScience de la mise en scèneVolume 4 :VaudevilleThéâtre socialRégionalisme et universalismeVolume 5 :SymbolismeAvant-gardeThéâtre et histoire
Considération sur les acteur japonais - Correspondance mai 1940.
Rencontre avec Meyerhold - Correspondance 1931.
Théâtre et Cinéma.
- Taille : 18.5cm x 12cm
- Notes et souvenirs
- I. - Vocation pg11
- II. - A l’école du mélodrame pg29
- III. - Naissance et vie des personnages pg33
- IV. - Théâtre de guerre pg55
- V. - Acteurs japonais pg59
- VI. - Visite à Meyerhold pg65
- VII. - L’âme des vieux théâtres pg71
- VIII. - Mort d’un acteur pg75
- Conseils à un jeune élève
- I. - Sincérité pg81
- II. - Notes sur l’acteur pg87
- III. - Technique élémentaire pg97
- IV. - De la musique avant toute chose pg105
- V. - Improvisation pg109
- De quelques conventions du théâtre et du cinéma
- I. - Théâtre et Cinéma pg135
- II. - En bref pg149
Prospettiva teatrale - Restituzioni - Pratica nella pittura e nella confezione delle scene - Macchineria - Trucchi di palcoscenica - Materiale elettrico - Luministica e illuminotecnica - Impianto elettronico
- Taille : 29.5cm x 22,5cm
- Indice
- Prefazione pg5
- Breve cenno storico di scenografia pg9
- Costumi pg34
- Elementi di scenotecnica pg53
- Restituzioni pg76
- Scenografia teorico pratica pg86
- Geometria pg114
- Disegno architettonico pg119
- Prospettiva pg133
- Piante e cambiamenti pg141
- Palcoscenico pg149
- Cambiamenti rapidi di scena pg168
- Definizione delle parti di una scena pg177
- Sipario pg184
- Telai pg187
- Panorama pg202Crolli pg216
- Strada o guida pg221
- Trabocchetti pg227
- Carri pg233
- Macchine pg236Voli pg244
- Effeti di luce pg256
- Rumori di palcoscenico pg257
- Effeti speciali pg260
- Armature pg263
- Costruzioni pg271
- Scenografo realizzatore pg286
- Ricettario pg290
- Come si confezionano la scene pg301
- Pratica per dipingere sulle scene di tela e di carta pg314
- Constuzioni tridimensionali pg317
- Soluzioni tecniche e prospettiche di elementi di scena pg321
- Attrezzeria teatrale
- Luministica e illuminotecnica pg326
- Apparecchiature pg339
- Accorgimenti e trucchi pg343
- Proiezioni pg344
- Attrezzature elettriche pg352
- Impianto ellettronico pg364
- Qualche appunto sulla scienza dei colori pg372
- Bibliografia pg377
Le texte du mystère de la Passion joué à Valencienne en 1547, et conservé à la Bibliothèque Nationale de Paris dans deux manuscrits à peintures - Mss. Fond français 12536 et Collection J. de Rothschild I.7.3. - a déjà été l’objet de plusieurs études.
…
Ce manuscrit a été terminé trente ans après la représentation pour le compte d’un curieux de ce temps.
…
- Taille : 31.5cm x 24.5cm
- Table des matières
- Introduction pg7
- I - Généralités pg9
- a) Valenciennes durant la première moitié du XVIe siècle pg 9
- b) les cérémonies et les fêtes pg11
- c) les problèmes religieux pg13
- d) la représentation du mystère de la Passion pg15
- II. - organisation du mystère de 1547 pg17
- a) acteurs, superintendant, conducteurs et facteurs de secrets pg17
- b) l’obligation. La durée du jeu pg19
- c) pris et recettes. valuation du nombre de spectateurs pg21
- d) censure de l’Eglise pg22
- e) témoignage contemporain pg23
- III. - Hubert Cailleau et l’illustration de la Passion pg25
- Description des manuscrits de la bibliothèque de Douai orné par Cailleau
- - Vie de Cailleau
- - Description des manuscrits de la Passion de la Bibliothèque Nationale de Paris
- - Cailleau et l’art de son temps
- - Comparaison entre les manuscrits de Douai et les manuscrits de la Passion
- - Les manuscrits d’illustration du ms. Roth. et H. 1-7-3.
- IV. - Les décors et les costumes pg33
- 1) le hourdement de Valenciennes.
- - Critique.
- - Cailleau créateur du décor. Description du hourdement.
- - Comparaison entre A et B pg33
- 2) Les Mansions pg37
- a - Mansions permanentes à usage unique - planche 1- 2 pg37
- b - Mansions permanentes à usages multiples pg42
- c - Stylede hourdement - planche 3 pg44
- d - Emploi des rideaux pg46
- e - Les superstructures, les voleries. La montagne - planche 4 pg47
- f - Mensurations des mansions
- 3) Les costumes pg52
- V. - Le texte et la mise en scène pg55
- a - Les lieux de l’action. La parole crée les lieux de l’action. Décor et machinerie suppléant aux limites du discours. Lecture du décor. Liaison entre la scène et des spectateurs pg55
- b - Thèmes pg57
- c - Temps et espace du mystère pg59
- VI. - Mis en scène des 25 journées pg61
- 1er journées page 65
- 2e journée page 69
- 3e journée page 73
- 4e journée page 77
- 5e journée page 81
- 6e journée page 85
- 7e journée page 89
- 8e journée page 92
- 9e journée page 97
- 10e journée page 99
- 11e journée page 102
- 12e journée page 104
- 13e journée page 108
- 14e journée page 111
- 15e journée page 114
- 16e journée page 117
- 17e journée page 119
- 18e journée page 121
- 19e journée page 124
- 20e journée page 127
- 21e journée page 130
- 22e journée page 132
- 23e journée page 136
- 24e journée page 138
- 25e journées page 140
- Conclusion pg143
- Bibliographie pg147
- Table des illustrations pg149
- Planches hors-texte (à la fin du volume)